Dortoir Fille - Etage 14 : chasse au monstre
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Tendra :: École de Tendra :: Tour Ouest
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Dortoir Fille - Etage 14 : chasse au monstre
Amoniaque Ven 7 Mar - 23:16
Amoniaque, pas essouflé le moins du monde continue de flairer la piste de l'arachnide. Des regards ahuris le voient passer. Après tout il faut le voir un farfadet qui courre. C'est énergique. Sans hésiter il s'arrête devant une porte, on pourrait presque voir le nuage de fumée quand il dérape sur le parquet propre. Il frappe à la porte. Trois coups secs. Personne, sans doute que la locatrice est en cours. Après tout il ne sent personne à l'intérieur, et n'en entend pas plus. Grace à un pass partout il deverouille la porte. Effectivement il n'y avait personne. Il aurait eu l'air malin si il y avait eu quelqu'un (n'oublions pas que nous sommes dans le dortoir des filles). D'ailleur on le regarde bizzarement à l'extérieur, genre "mais qu'es qu'il fout là cuila ??" d'ailleur une jeune fille visiblement à cheval sur les réglements s'approche de lui.
- C'est un dortoir privé ! T'as pas le droit d'entrer sans autorisation.
- T'es la propriétaire ? Non. Donc me soule pas, sinon va t'occuper de la bêbette qui se ballade dans cte piaule.
L'effet est rapide. La minette degueurpit. Courageuse mais pas intrépide. Elle est pas encore prête pour le terrain. Amoniaque rentre dans la chambre, referme la porte. C'est plutot le bordel. Pas au sens propre du terme, quoi que pas loins. Lui qui croyait les filles plutôt organisées, voila un mythe qui s'éffondre. Enfin il faudrait que la propriétaire progresse pour arriver à son niveau de bronxitude. Il écoute un peu les bruits de la pièce : un ordinateur mac en train de télécharger des fichiers lourds, ou en tout cas de traiter un programme complexe, un chauffage presque au maximum, un robinet pas fermé, un télé en veille... et enfin une respiration, bruit infime, mais la respiration du système de ces bêtes, proche de celui des insectes, qui respirent par des pores de leur peaux. Mais plus rauque, plus humain, un bruit inoubliable. Il se rapelle de deux trois parties de chasses. Elles étaient plus grosses les bestioles. Le monstre a réalisé sa presence. Il l'attaque, croyant à un morceau de barbaque en libre service. Voir une araignée à dix pattes en ferraille qui vous saute dessus par surprise ça fait toujour de l'effet. Mais le farfadet ne voit pas à proprement parler, il sent et il entend plus qu'autre chose. Ses yeux il les garde fermés pour être concentré sur trois cent soixantes degrès. Il a donc entendu l'impulsion de l'araignée. Il l'esquive. Le monstre recharge, plus perversement cette fois ci, en se donnant une impulsion qui lui offre une rotation digne d'un shuriken. Etrangement la sale bête prend de la vitesse. Amoniaque se baisse. Le shuriken vivant passe au dessu de sa tête. Il se relève et envoi un coup de paume dans la bêbette, qui stoppée dans son élant et sa rotation va se cogner au plafond. Un peu sonné, le monstre retombe. Deux doigts solides viennent frapper en experts se terminaison nerveuse la plus affleurante de la surface et à un endroit pas protégé par l'espèce de carapace. C'est finit, Amoniaque 1, monstre 0, la bestiole git assomées par terre. Pour ne pas effrayer la galerie en ressortant, le farfadet prend un sac à la personne qui dort ici, un sac de voyage prada. Pas pauvres les parents. Et lui il aura l'air con en ressortant. Enfin si on l'emmerde il aura qu'a montrer le sac. Il fourre sans cérémonie l'araignée dans son luxueux réceptacle, eteint les appareils inutilement allumés (il a un respect certain pour l'environnement, et tient la pollution en horreur) et dessent en veillant d'une oreille à ce que son coli ne se réveille pas.
- C'est un dortoir privé ! T'as pas le droit d'entrer sans autorisation.
- T'es la propriétaire ? Non. Donc me soule pas, sinon va t'occuper de la bêbette qui se ballade dans cte piaule.
L'effet est rapide. La minette degueurpit. Courageuse mais pas intrépide. Elle est pas encore prête pour le terrain. Amoniaque rentre dans la chambre, referme la porte. C'est plutot le bordel. Pas au sens propre du terme, quoi que pas loins. Lui qui croyait les filles plutôt organisées, voila un mythe qui s'éffondre. Enfin il faudrait que la propriétaire progresse pour arriver à son niveau de bronxitude. Il écoute un peu les bruits de la pièce : un ordinateur mac en train de télécharger des fichiers lourds, ou en tout cas de traiter un programme complexe, un chauffage presque au maximum, un robinet pas fermé, un télé en veille... et enfin une respiration, bruit infime, mais la respiration du système de ces bêtes, proche de celui des insectes, qui respirent par des pores de leur peaux. Mais plus rauque, plus humain, un bruit inoubliable. Il se rapelle de deux trois parties de chasses. Elles étaient plus grosses les bestioles. Le monstre a réalisé sa presence. Il l'attaque, croyant à un morceau de barbaque en libre service. Voir une araignée à dix pattes en ferraille qui vous saute dessus par surprise ça fait toujour de l'effet. Mais le farfadet ne voit pas à proprement parler, il sent et il entend plus qu'autre chose. Ses yeux il les garde fermés pour être concentré sur trois cent soixantes degrès. Il a donc entendu l'impulsion de l'araignée. Il l'esquive. Le monstre recharge, plus perversement cette fois ci, en se donnant une impulsion qui lui offre une rotation digne d'un shuriken. Etrangement la sale bête prend de la vitesse. Amoniaque se baisse. Le shuriken vivant passe au dessu de sa tête. Il se relève et envoi un coup de paume dans la bêbette, qui stoppée dans son élant et sa rotation va se cogner au plafond. Un peu sonné, le monstre retombe. Deux doigts solides viennent frapper en experts se terminaison nerveuse la plus affleurante de la surface et à un endroit pas protégé par l'espèce de carapace. C'est finit, Amoniaque 1, monstre 0, la bestiole git assomées par terre. Pour ne pas effrayer la galerie en ressortant, le farfadet prend un sac à la personne qui dort ici, un sac de voyage prada. Pas pauvres les parents. Et lui il aura l'air con en ressortant. Enfin si on l'emmerde il aura qu'a montrer le sac. Il fourre sans cérémonie l'araignée dans son luxueux réceptacle, eteint les appareils inutilement allumés (il a un respect certain pour l'environnement, et tient la pollution en horreur) et dessent en veillant d'une oreille à ce que son coli ne se réveille pas.
Amoniaque-
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Localisation : la tête dans les nuages les pieds autre part
Citation préférée : save the mammouths
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Re: Dortoir Fille - Etage 14 : chasse au monstre
Lunne Sam 8 Mar - 12:33
-Amo?
Le farfadet se retourna. Lunne le regardait avec l'air le plus surpris de l'hisoire de l'imagination humaine.
-Ouiiiiiii?
-Tu sais que c'est de ma chambre que tu ressors?
Il se regardèrent, aussi surpris l'un que l'autre, et les yeux de Lunne tombèrent sur le sac qui commeçait à remuer.
-... Rentre dans la chambre et pose ce... Truc. Ca vaut une fortune.
Elle le poussa jusque dans sa piaule et ferma la porte. Le calcul fut rapide. Elle attrapa le "prada", sortit l'araignée encore vivante et attrapa un autre sac, de tule cette fois ci.
-J'ai eu du mal à le voler, celui la!
Elle lui donna le sac à araignée, un sourire aux lèvres.
-Plus que deux à trouver... On fait la course?
Le farfadet se retourna. Lunne le regardait avec l'air le plus surpris de l'hisoire de l'imagination humaine.
-Ouiiiiiii?
-Tu sais que c'est de ma chambre que tu ressors?
Il se regardèrent, aussi surpris l'un que l'autre, et les yeux de Lunne tombèrent sur le sac qui commeçait à remuer.
-... Rentre dans la chambre et pose ce... Truc. Ca vaut une fortune.
Elle le poussa jusque dans sa piaule et ferma la porte. Le calcul fut rapide. Elle attrapa le "prada", sortit l'araignée encore vivante et attrapa un autre sac, de tule cette fois ci.
-J'ai eu du mal à le voler, celui la!
Elle lui donna le sac à araignée, un sourire aux lèvres.
-Plus que deux à trouver... On fait la course?
Lunne- Ađмιиιѕтяаяιce
-
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Re: Dortoir Fille - Etage 14 : chasse au monstre
Amoniaque Sam 8 Mar - 14:34
- La course ? Si tu veux... Le premier qui attrape le sien. Et en meilleur état, trop facile de loger une balle dans leur fragile petite carapace.
Il clingne de l'oeil malicieusement. Aspire l'air deux trois fois, ferme les yeux pour mieux écouter et s'en va en courant. Il est tellement focalisé sur l'araignée qu'il vien de trouver qu'il percute une jeune fille s'aprettant à rentrer dans sa chambre. Il s'excuse rapidement et repart. Cette fois ci les yeux ouverts.
Il clingne de l'oeil malicieusement. Aspire l'air deux trois fois, ferme les yeux pour mieux écouter et s'en va en courant. Il est tellement focalisé sur l'araignée qu'il vien de trouver qu'il percute une jeune fille s'aprettant à rentrer dans sa chambre. Il s'excuse rapidement et repart. Cette fois ci les yeux ouverts.
Amoniaque-
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Re: Dortoir Fille - Etage 14 : chasse au monstre
Lunne Sam 8 Mar - 15:05
-Rock it!
Elle courut à son tour vers la seconde. Elle était... dans une salle de cours...
Elle courut à son tour vers la seconde. Elle était... dans une salle de cours...
Lunne- Ađмιиιѕтяаяιce
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