Entrevue d'Alcyde
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Entrevue d'Alcyde
Shuri, Alcyde, Blizzard et Pioupiou se matérialisèrent tous les trois devant la porte du bureau. La jeune fille maintenant son dragon contre elle tandis que celui-ci fixait l'oiseau avec gourmandise. Le garçon quand à lui, avait l'air surpris de s'être retrouvé ici alors qu'il était à l'infirmerie juste avant. Shuri se permit de lui expliquer :
-Je suis née avec le don de me téléporter.
Puis elle lui désigna la porte.
-C'est ici. Tu peux entrer. Je peux t'attendre à l'extérieur si tu veux. Je n'ai rien d'autre à faire.
C'était vrai. Elle ignorait où se trouvait Amy et son frère, et de toute manière quelque chose lui disait qu'elle n'aurait pas été la bienvenue parmi eux. Elle savait que ce n'était pas de sa faute. Ils n'aimaient pas trop la compagnie, c'est tout. Chris devait sans doute être occupé à donner ses cours de sports, et elle-même ne pouvait s'entraîner au combat avec Raïken. Il n'était toujours pas revenu d'Europe. Quand à Amoniaque et Lunne...
Elle s'efforça de ne pas y penser. Ils ne pouvaient pas mourir. Ni l'un ni l'autre. C'était impossible. Impossible d'imaginer son quotidien à Tendra sans eux. D'autre part, penser aux évènements de Los Angeles lui rappelait Pirika. Elle frissonna en repensant à cette petite IA-C qui l'avait appelé sœur et blessé sans pitié, pour la punir de les avoir abandonnés. Mais Shuri n'avait même pas de souvenirs de sa petite enfance, aucun souvenirs d'elle si ce n'est celui du couloir. Elle n'avait pas demandé à être enfermée dans ce centre de recherche. Elle n'avait abandonné personne.
Chassant tous ces mauvais souvenirs, elle sourit à Alcyde.
-Vas-y, je t'en prie.
-Je suis née avec le don de me téléporter.
Puis elle lui désigna la porte.
-C'est ici. Tu peux entrer. Je peux t'attendre à l'extérieur si tu veux. Je n'ai rien d'autre à faire.
C'était vrai. Elle ignorait où se trouvait Amy et son frère, et de toute manière quelque chose lui disait qu'elle n'aurait pas été la bienvenue parmi eux. Elle savait que ce n'était pas de sa faute. Ils n'aimaient pas trop la compagnie, c'est tout. Chris devait sans doute être occupé à donner ses cours de sports, et elle-même ne pouvait s'entraîner au combat avec Raïken. Il n'était toujours pas revenu d'Europe. Quand à Amoniaque et Lunne...
Elle s'efforça de ne pas y penser. Ils ne pouvaient pas mourir. Ni l'un ni l'autre. C'était impossible. Impossible d'imaginer son quotidien à Tendra sans eux. D'autre part, penser aux évènements de Los Angeles lui rappelait Pirika. Elle frissonna en repensant à cette petite IA-C qui l'avait appelé sœur et blessé sans pitié, pour la punir de les avoir abandonnés. Mais Shuri n'avait même pas de souvenirs de sa petite enfance, aucun souvenirs d'elle si ce n'est celui du couloir. Elle n'avait pas demandé à être enfermée dans ce centre de recherche. Elle n'avait abandonné personne.
Chassant tous ces mauvais souvenirs, elle sourit à Alcyde.
-Vas-y, je t'en prie.
Shuri-
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Re: Entrevue d'Alcyde
En une fraction de seconde, le décor avait changé, il était passé d'un couloir vide à une porte massive et assez impressionnante, qui, d'après Shuri, était celle du directeur. L'apparence de la porte couplée à l'étonnement dû à la téléportation fit que le jeune homme ne put retenir un "waouh" admiratif... Il commençait à voir la jeune fille sous un autre angle que celle d'une créature apeurée, mais ne s'attarda pas sur ce fait, préférant imaginer quel type d'homme trônait dans cette salle qui servait de lieu de pouvoir à toute l'île. Saisit à la gorge d'un pressentiment étrange, peut être dû à la menace draconienne qui avait manquée d'avaler Pioupiou, Alcyde vérifia une sacoche qu'il avait accrochée à la cuisse. Une goute de gêne dégoulina le long de sa nuque. Il venait de remarquer que la plupart de ses concoctions avaient disparues, et que si menace se profilait, il ne pourrait compter que sur une potion de berserker et deux de carapaces d'épines... Mais il ne s'inquiéta pas outre mesure et jugea qu'il aurait bien le temps d'en refabriquer.
La porte massive redevint le centre d'attention du jeune homme, qui fit pivoter la poignée sur elle même, poussa la porte, légèrement nerveux du fait de n'avoir jamais été à l'aise avec la hiérarchie, et entra d'un pas tranquille dans le bureau, sans même frapper ou annoncer sa venue. D'abord analyser, ensuite agir. Comme toujours quoi. La pièce étaient assez semblable à ce qu'on pouvait attendre d'un directeur. Froide, carrée, et bien rangée. Alcyde eu ce frisson qu'ont les condamnés au lavage de cerveau.
Le jeune homme s'attendit à trouver un homme chauve, ou au crâne dégarni, d'un âge avancé avec de petites lunettes de bibliothécaire, mais en lieu et place de cela il trouva... Rien. Le bureau était complètement vide de toute personne. Sur le bureau trônait une bouteille d'un alcool non identifiable par Alcyde, quelques livres étaient empilés ça et là sur les coins, et des notes gribouillées avec une écriture stylisée, droite, mais légèrement nerveuse et tremblante. Il eu un instant l'envie de les lire, le caractère de Pioupiou semblant déteindre sur lui, et finit par céder à la curiosité. Il laissa Pioupiou guetter l'éventuelle arrivée du directeur ou de quelqu'un d'autre, et s'éssaya à déchiffrer les gribouillis parsemés de tâches d'encre, à un point qu'on les croirait posée exprès là où elles empaîchaient de lire. De ce qu'il capta, car cette caligraphie était plutôt difficile à lire, plusieurs mots clefs revinrent souvent: monstres; destruction; projet X-(le reste est illisible); Tendra; guerriers argent. Tout cela perturba le jeune homme, qui ne sut quoi penser d'une telle découverte. Car il ignorait ce que pouvait être le texte entier premièrement, mais aussi parce qu'il n'avait pas assez d'indice pour échafauder un début de théorie sur la question. Absorbé dans ses pensées, il entendit soudain Pioupiou lacher un cri striddent, et s'empressa de remettre les documents là où il les avait trouvé, au millimètre près. Quand il récupera son compagnon, qui s'était heurté avec violence contre ses jambes, il distingua une silouhette devant lui, mais ne pu dire à qui exactement elle appartenait, la pièce étant assez obscure et peu illuminée.
La porte massive redevint le centre d'attention du jeune homme, qui fit pivoter la poignée sur elle même, poussa la porte, légèrement nerveux du fait de n'avoir jamais été à l'aise avec la hiérarchie, et entra d'un pas tranquille dans le bureau, sans même frapper ou annoncer sa venue. D'abord analyser, ensuite agir. Comme toujours quoi. La pièce étaient assez semblable à ce qu'on pouvait attendre d'un directeur. Froide, carrée, et bien rangée. Alcyde eu ce frisson qu'ont les condamnés au lavage de cerveau.
Le jeune homme s'attendit à trouver un homme chauve, ou au crâne dégarni, d'un âge avancé avec de petites lunettes de bibliothécaire, mais en lieu et place de cela il trouva... Rien. Le bureau était complètement vide de toute personne. Sur le bureau trônait une bouteille d'un alcool non identifiable par Alcyde, quelques livres étaient empilés ça et là sur les coins, et des notes gribouillées avec une écriture stylisée, droite, mais légèrement nerveuse et tremblante. Il eu un instant l'envie de les lire, le caractère de Pioupiou semblant déteindre sur lui, et finit par céder à la curiosité. Il laissa Pioupiou guetter l'éventuelle arrivée du directeur ou de quelqu'un d'autre, et s'éssaya à déchiffrer les gribouillis parsemés de tâches d'encre, à un point qu'on les croirait posée exprès là où elles empaîchaient de lire. De ce qu'il capta, car cette caligraphie était plutôt difficile à lire, plusieurs mots clefs revinrent souvent: monstres; destruction; projet X-(le reste est illisible); Tendra; guerriers argent. Tout cela perturba le jeune homme, qui ne sut quoi penser d'une telle découverte. Car il ignorait ce que pouvait être le texte entier premièrement, mais aussi parce qu'il n'avait pas assez d'indice pour échafauder un début de théorie sur la question. Absorbé dans ses pensées, il entendit soudain Pioupiou lacher un cri striddent, et s'empressa de remettre les documents là où il les avait trouvé, au millimètre près. Quand il récupera son compagnon, qui s'était heurté avec violence contre ses jambes, il distingua une silouhette devant lui, mais ne pu dire à qui exactement elle appartenait, la pièce étant assez obscure et peu illuminée.
Re: Entrevue d'Alcyde
[comme on a pas de dirlo attitré je m'incruste]
Le farfadet, ayant sentit litéralement une présence inconnue dans le bureau du directeur, et en plus un créature non-humanoïde, et pas forcément très pacifique, il s'y était précipité. Ils auraient eu l'air con à la COAL si la femme de ménage débarquait et disait : "Ah ben l'bureau de m'sieur l'directeur y'a pus rinh à néttouailler, il é parti l'burô !" (Bon là c'est carricaturé, la fille qui fait le ménage das le bureau de monsieur le directeur, en vrai c'est genre une vieille fille anglaise hyper stricte, très à cheval sur les mots, sans un pet de sens de l'humour. Mais bon....
Bref, il se tenait maintenant devant le colosse. Ca fesait un peu effet : nain v.s géant, mais bon, le nain caressait la crosse d'un revolver automatique capable d'estropier un éléphant, et le géant, malgrès les bond nerveux de son animal montrait des mains vides et ouvertes en geste d'apaisement.
- Excusez moi, mais je croi que vous vous trouvez dans un endroit interdit d'accès au public.
Amoniaque voyant qu'il n'y avait aucun danger qui ne nécéciterait son Sig Sauer enfonça ses mains dans les poches de sa veste.
Le farfadet, ayant sentit litéralement une présence inconnue dans le bureau du directeur, et en plus un créature non-humanoïde, et pas forcément très pacifique, il s'y était précipité. Ils auraient eu l'air con à la COAL si la femme de ménage débarquait et disait : "Ah ben l'bureau de m'sieur l'directeur y'a pus rinh à néttouailler, il é parti l'burô !" (Bon là c'est carricaturé, la fille qui fait le ménage das le bureau de monsieur le directeur, en vrai c'est genre une vieille fille anglaise hyper stricte, très à cheval sur les mots, sans un pet de sens de l'humour. Mais bon....
Bref, il se tenait maintenant devant le colosse. Ca fesait un peu effet : nain v.s géant, mais bon, le nain caressait la crosse d'un revolver automatique capable d'estropier un éléphant, et le géant, malgrès les bond nerveux de son animal montrait des mains vides et ouvertes en geste d'apaisement.
- Excusez moi, mais je croi que vous vous trouvez dans un endroit interdit d'accès au public.
Amoniaque voyant qu'il n'y avait aucun danger qui ne nécéciterait son Sig Sauer enfonça ses mains dans les poches de sa veste.
Amoniaque-
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Re: Entrevue d'Alcyde
En y regardant de plus près, il vit que la silhouette était celle d'un... D'un nain? En tout cas, sur le coup, Alcyde se demanda si ce n'était pas une école pour personne de taille réduite, mais préféra chasser toute raillerie de son esprit quand il vit le revolver braqué sur lui. Ce petit personnage devait avoir plus de forces que ne le laissait paraître son apparence, et Alcyde avait apprit à ne jamais sous estimer un adversaire. Il se contenta d'un simple signe de main pour signifier qu'il ne voulait pas d'ennuis, et commença à ausculter du regard le petit bonhomme. Pas bien grand. 1m 65. A vue de nez. Ses habits laissaient voir un certain laissez-aller, mis à part le chapeau melon qui lui donnait un je ne sais quoi de classe. Ses oreilles étaient assez pointues, alors il pensa que le garçon était un korigan. Ou un farfadet. Voir un leprechaun. Enfin ce genre de créature fantastique... Quelque chose seulement, l'intrigua. Ce genre d'être a toujours les cheveux roux et bouclés... Pour les boucles, elles étaient plus que présentes, mais ses cheveux étaient aussi noirs que ses yeux, où l'on tombait dans une abîme noire vous renvoyant votre image dans un long questionnement... Tout du moins était-ce là la réaction d'Alcyde aux personnes possédant des yeux noirs. Un instant, son regard s'arrêta sur la sacoche du farfadet, et il se demanda ce qu'il pouvait contenir... Des munitions, un couteau peut-être, ou tout simplement des effets personnels. Puis il remonta sur le visage d'Amoniaque, et de sa voix si particulière, dit:
"Je ne me souvenais pas qu'aller voir le responsable d'un établissement était interdit. A moins qu'il n'ait de choses à cacher."
A cette phrase précise, le farfadet pût avoir l'impression que le jeune homme lui désignait le bureau d'un signe de tête imperceptible, ce qu'Alcyde avait fait si discrètement que peu de personne auraient pû le remarquer.
"Ensuite, je vais me permettre de me présenter avant de vous demander qui vous êtes. Je suis Alcyde Fel, simple humain de 18 ans, chimiste en herbe, ayant été enlevé à la place de mon compagnon Pioupiou pour servir d'esclave à je-ne-sais quel chef de mafia. Je me suis tiré d'un avion cargo grâce au secours de mon ami ayant réussi à saboter l'appareil, ait sauté en parachute sur cet endroit, Tendra je crois, et je cherche à m'informer sur l'endroit. Maintenant, je me permets de demander vous demander qui vous êtes...?"
"Je ne me souvenais pas qu'aller voir le responsable d'un établissement était interdit. A moins qu'il n'ait de choses à cacher."
A cette phrase précise, le farfadet pût avoir l'impression que le jeune homme lui désignait le bureau d'un signe de tête imperceptible, ce qu'Alcyde avait fait si discrètement que peu de personne auraient pû le remarquer.
"Ensuite, je vais me permettre de me présenter avant de vous demander qui vous êtes. Je suis Alcyde Fel, simple humain de 18 ans, chimiste en herbe, ayant été enlevé à la place de mon compagnon Pioupiou pour servir d'esclave à je-ne-sais quel chef de mafia. Je me suis tiré d'un avion cargo grâce au secours de mon ami ayant réussi à saboter l'appareil, ait sauté en parachute sur cet endroit, Tendra je crois, et je cherche à m'informer sur l'endroit. Maintenant, je me permets de demander vous demander qui vous êtes...?"
Re: Entrevue d'Alcyde
Amoniaque fut agréablement surprit, encore que pas tant que ça, par la franchise d'Alcyde. Sa réponse avait plus ou moins répondut, bien que part passage, plutot implicitement, à ses questions carréments implicites. Enfin elles deviennent très explicites avec l'appuit d'un semi-automatique.
- Hum... Excusez moi pour ma brutesse, mais bon, on aurait pas eut l'air fin si le bureau du directeur s'était envollé quand il reviendra.
Il passa la main dans ses cheuveux derrière son crane avec un sourire un peu gêné.
- Bon en même temps, vous êtes quand même entré ici sans avoir été enregistré nulle part.
Ce n'était pas un reproche, juste une constation. D'ailleur l'odeur de Shuri était là, donc sa propriétaire pas très loin. Ce qui expliquait beaucoup de choses.
- Enfin pour répondre à votre question, je suis Amoniaque, farfadet de mon état, et puis je fait un peu tout ce qu'il y a à faire d'interessant dans ce trou perdu au milieu de l'ocean. Ah, et si on pouvait se tutoyer, ça m'arrangerait, parceque moi et les subtilités de la langue de molière, j'ai du mal.
Il se permit un sourire.
- Des question ?
- Hum... Excusez moi pour ma brutesse, mais bon, on aurait pas eut l'air fin si le bureau du directeur s'était envollé quand il reviendra.
Il passa la main dans ses cheuveux derrière son crane avec un sourire un peu gêné.
- Bon en même temps, vous êtes quand même entré ici sans avoir été enregistré nulle part.
Ce n'était pas un reproche, juste une constation. D'ailleur l'odeur de Shuri était là, donc sa propriétaire pas très loin. Ce qui expliquait beaucoup de choses.
- Enfin pour répondre à votre question, je suis Amoniaque, farfadet de mon état, et puis je fait un peu tout ce qu'il y a à faire d'interessant dans ce trou perdu au milieu de l'ocean. Ah, et si on pouvait se tutoyer, ça m'arrangerait, parceque moi et les subtilités de la langue de molière, j'ai du mal.
Il se permit un sourire.
- Des question ?
Amoniaque-
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Re: Entrevue d'Alcyde
"Non, aucunes objections."
Le farfadet commençait à prendre un air un peu trop sûr de lui. Cela déplu grandement à Alcyde, qui eu l'impression qu'un piège se refermait sur lui. Mais avec les récents évènements, il était sur le qui-vive, trop d'ailleurs. Un décontraction apparu au niveau de ses épaules, qui se laissèrent peu à peu tomber. Après tout, si cet endroit tenait sa réputation, il n'aurait rien d'autre à craindre que de se faire enrôler...
"Et comme je te l'ai dit, je suis arrivé ici en m'échappant d'un avion qui allait s'écraser. Une jeune fille que j'ai croisé m'a soigné et emmené ici quand j'ai demandé à voir le responsable, aussi je ne pense pas avoir eu l'occasion de m'enregistrer où que ce soit..."
Pioupiou ne se sentait pas à l'aise avec ce bonhomme. Il avait manqué de se faire avaler tout cru, avait été effrayé par ce type qui a déboulé de nul part, et maintenant il pensait son maître en danger à cause du revolver qui, bien qu'ayant cessé de braquer Alcyde, était toujours une menace potentielle. Son tempérament volcanique refit alors surfasse, il émit un grincement peu agréable, et bondit sur Amoniaque, lui bouchant la vue et lui décochant de furieux coups de sabots dans le visage.
Alcyde, quand à lui, ne réagit pas. Il se contenta de soupirer, se dit que son compagnon allait lui attirer des ennuis, ici plus qu'autre part, et finit par se désintéresser totalement de la lutte entre les deux nains. Il se contenta de fixer le plafond, l'air absent. Dans son cerveau, plusieurs idées se mélangeaient. Il se demandait comment partir d'ici, et même s'il voulait partir. Après tout, à ce qu'on raconte d'ici et de ses entraînements intensifs, Alcyde pourrait s'entraîner, et c'est vrai que pour s'être fait capturer comme il l'avait été, il avait un peu rouillé. Il tata une nouvelle fois le fond de sa sacoche, se demandait où trouver ce dont il avait besoin pour ses concoctions, et reposa son regard sur le duel entre les deux créatures. Pioupiou menait sans difficulté, se faufilant aussi agile qu'un serpent et aussi rapide qu'un guépard dans les vêtements du farfadet qui ne pouvait que chercher en vain à arrêter la boule de plume chatouilleuse.
En ayant un peu assez de ce spectacle, il avança sa main au hasard et piocha Pioupiou, se débattant toujours, pestant qu'on l'ai arraché à sa "proie", et voulant retourner frapper ce gnome arrogant.
Le farfadet commençait à prendre un air un peu trop sûr de lui. Cela déplu grandement à Alcyde, qui eu l'impression qu'un piège se refermait sur lui. Mais avec les récents évènements, il était sur le qui-vive, trop d'ailleurs. Un décontraction apparu au niveau de ses épaules, qui se laissèrent peu à peu tomber. Après tout, si cet endroit tenait sa réputation, il n'aurait rien d'autre à craindre que de se faire enrôler...
"Et comme je te l'ai dit, je suis arrivé ici en m'échappant d'un avion qui allait s'écraser. Une jeune fille que j'ai croisé m'a soigné et emmené ici quand j'ai demandé à voir le responsable, aussi je ne pense pas avoir eu l'occasion de m'enregistrer où que ce soit..."
Pioupiou ne se sentait pas à l'aise avec ce bonhomme. Il avait manqué de se faire avaler tout cru, avait été effrayé par ce type qui a déboulé de nul part, et maintenant il pensait son maître en danger à cause du revolver qui, bien qu'ayant cessé de braquer Alcyde, était toujours une menace potentielle. Son tempérament volcanique refit alors surfasse, il émit un grincement peu agréable, et bondit sur Amoniaque, lui bouchant la vue et lui décochant de furieux coups de sabots dans le visage.
Alcyde, quand à lui, ne réagit pas. Il se contenta de soupirer, se dit que son compagnon allait lui attirer des ennuis, ici plus qu'autre part, et finit par se désintéresser totalement de la lutte entre les deux nains. Il se contenta de fixer le plafond, l'air absent. Dans son cerveau, plusieurs idées se mélangeaient. Il se demandait comment partir d'ici, et même s'il voulait partir. Après tout, à ce qu'on raconte d'ici et de ses entraînements intensifs, Alcyde pourrait s'entraîner, et c'est vrai que pour s'être fait capturer comme il l'avait été, il avait un peu rouillé. Il tata une nouvelle fois le fond de sa sacoche, se demandait où trouver ce dont il avait besoin pour ses concoctions, et reposa son regard sur le duel entre les deux créatures. Pioupiou menait sans difficulté, se faufilant aussi agile qu'un serpent et aussi rapide qu'un guépard dans les vêtements du farfadet qui ne pouvait que chercher en vain à arrêter la boule de plume chatouilleuse.
En ayant un peu assez de ce spectacle, il avança sa main au hasard et piocha Pioupiou, se débattant toujours, pestant qu'on l'ai arraché à sa "proie", et voulant retourner frapper ce gnome arrogant.
Re: Entrevue d'Alcyde
Amoniaque soupira. Décidement on rencontrait des trucs de plus en plus bizzare. Et puis il avait l'impression qu'Alcyde ne l'aimait pas du tout. Bon, même si il n'en avait pas grand chose à faire, c'était dommage.
- Bon, ben si tu veux rester ici, tu peux toujour. Allez hasta la vista.
Puis, le farfadet se retourna et franchit la porte d'un pas lent. Se penchant prestement pour éviter piou-piou qui alla ainsi s'écraser contre la porte. Décidement il adorait cet oiseau. Il faudra un jour qu'il sache de quelle marque il est.
En passant devant shuri il lui adresse un bref salut et un regard amusé en la gratifiant d'un réconfortant.
- T'as vus, on est pas mort !
- Bon, ben si tu veux rester ici, tu peux toujour. Allez hasta la vista.
Puis, le farfadet se retourna et franchit la porte d'un pas lent. Se penchant prestement pour éviter piou-piou qui alla ainsi s'écraser contre la porte. Décidement il adorait cet oiseau. Il faudra un jour qu'il sache de quelle marque il est.
En passant devant shuri il lui adresse un bref salut et un regard amusé en la gratifiant d'un réconfortant.
- T'as vus, on est pas mort !
Amoniaque-
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Re: Entrevue d'Alcyde
En attendant Alcyde, Shuri s'était assise dans le couloir et réfléchissait. Malheureusement, pas à des choses très gaies. A Lunne et Amoniaque notamment. Comment allaient-ils ? Etaient-ils toujours en vie ? Maintenant qu'elle y pensait, ils étaient ses deux principaux amis à Tendra. Elle n'avait pas eu le temps de se lier avec ceux de sa classe et maintenant qu'elle n'allait même plus en cours, c'était pratiquement impossible. Mais si Lunne mourrait, qui assurerait sa formation d'ésothère ?
La jeune fille soupira et ferma les yeux, fatiguée de penser à tout ça. Autre chose vint bientôt tourmenter son esprit : Pirika. Shuri frissonna en repensant à ses griffes dans sa chair. Elle se rappela ses yeux, ses prunelles vertes dans lesquelles elle s'était presque reconnue. Et ce sentiment étrange de déjà vu, ce mélange d'émotions tel que la terreur, l'affection et le regret qu'elle avait ressenti lorsqu'elle lui avait parler. Pourquoi culpabilisait-elle autant ?Malgré ses efforts, elle n'avait aucun souvenirs de cette fille. Elle ne pouvait pas l'avoir trahie.
Soudain, des bruits de voix la tirèrent de ses pensées, venant du bureau. Pourtant, Shuri ne reconnut pas la voix du directeur. Mais cette voix lui était familière. Se relevant, elle s'approcha de la porte....et faillit se la prendre lorsqu'Amoniaque l'ouvrit. L'apercevant, il lança :
- T'as vus, on est pas mort !
Malgré elle, elle resta bouche bée. Incroyable ! Elle y pensait l'instant d'avant, et le voilà qui se tenait devant elle. Blizzard poussa un couinement de satisfaction et vint se poser sur les cheveux bouclés du farfadet, content de le revoir lui aussi.
-Tu es vivant ! Enfin, je veux dire.....bien sûr, tu n'es pas mort puisque tu es là ! Mais je veux dire, vous avez réussi, ca y est ? Vous n'êtes pas blessé ? Et Lunne, elle va bien ? Elle a pu retrouver son corps ou est-ce que...
S'emmêlant quelque peu les pinceaux, Shuri rougit et choisit de se taire. Mais elle adressa quand même un sourire à Amoniaque. Elle était heureuse qu'il soit revenu...
La jeune fille soupira et ferma les yeux, fatiguée de penser à tout ça. Autre chose vint bientôt tourmenter son esprit : Pirika. Shuri frissonna en repensant à ses griffes dans sa chair. Elle se rappela ses yeux, ses prunelles vertes dans lesquelles elle s'était presque reconnue. Et ce sentiment étrange de déjà vu, ce mélange d'émotions tel que la terreur, l'affection et le regret qu'elle avait ressenti lorsqu'elle lui avait parler. Pourquoi culpabilisait-elle autant ?Malgré ses efforts, elle n'avait aucun souvenirs de cette fille. Elle ne pouvait pas l'avoir trahie.
Soudain, des bruits de voix la tirèrent de ses pensées, venant du bureau. Pourtant, Shuri ne reconnut pas la voix du directeur. Mais cette voix lui était familière. Se relevant, elle s'approcha de la porte....et faillit se la prendre lorsqu'Amoniaque l'ouvrit. L'apercevant, il lança :
- T'as vus, on est pas mort !
Malgré elle, elle resta bouche bée. Incroyable ! Elle y pensait l'instant d'avant, et le voilà qui se tenait devant elle. Blizzard poussa un couinement de satisfaction et vint se poser sur les cheveux bouclés du farfadet, content de le revoir lui aussi.
-Tu es vivant ! Enfin, je veux dire.....bien sûr, tu n'es pas mort puisque tu es là ! Mais je veux dire, vous avez réussi, ca y est ? Vous n'êtes pas blessé ? Et Lunne, elle va bien ? Elle a pu retrouver son corps ou est-ce que...
S'emmêlant quelque peu les pinceaux, Shuri rougit et choisit de se taire. Mais elle adressa quand même un sourire à Amoniaque. Elle était heureuse qu'il soit revenu...
Shuri-
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Re: Entrevue d'Alcyde
Le farfadet ramassa son chapeau par terre et laissa Blizzard sur sa tête. Il avait l'impression de ressembler à un mec qui trimballe son clep's comme ça dans un manga dont il ne se souvenait plus le titre. Il écouta la tirade (oui, plus d'une phrase c'est presque une tirade pour Shuri) de Shri justement. Puis il lui répondit d'un ton amusé.
- Hé, pas la peine de partir dans tous les sens. Alors on va prendre dans l'ordre. Oui je suis là et vivant.
Ce disant, il se fila un léger coup avec ses phalanges pour montrer qu'il était bien solide. Geste inutile puisque Blizzard ne battait pas des ailes et ne maîtrisait pas lévitation.
- Ensuite, pour tout dire on a laissé le noble pour mort, il l'est sans doute mais peut-être pas. J'ai dit au pilote de l'hélico de faire envoyer une équipe de netoyage avec un ou deux ésothères plus des gens ayant la maîtrise élémentaire du feu. Y'en a pas des masses, mais contre un noble à moitié mort ils risquaient rien. Et puis il était peutêtre sans dotue déja mort. Mais bon, au cas où, laisser un truc pareil libre à Los Angeles, c'est pas une bonne idée.
Il marqua une pause. Il espérait vraiment que Lunne était venue à bout du Noble. Malgrès ce qu'il avait dit, il était fort possible que l'ectoplasme ait reçut des renforts qui eussent détruit l'escouade. Mais bon, Byleth semble assez sur de ses Nobles. Alors sans doute que ce n'était pas la peine de s'inquiéter.
- Après moi je risquait pas d'être blessé j'ai pas combatut. Bon après Lunne n'a aux dernières nouvelles rien. Bon par contre Erik a eut chaud. Il a beau être un dieu, il a quand même faillit y passer. Après pour ce qui est du corp de notre Korrigane nationnale...
Il renifla l'air. Une fois.
- ... visiblement elle est dedans.
- Hé, pas la peine de partir dans tous les sens. Alors on va prendre dans l'ordre. Oui je suis là et vivant.
Ce disant, il se fila un léger coup avec ses phalanges pour montrer qu'il était bien solide. Geste inutile puisque Blizzard ne battait pas des ailes et ne maîtrisait pas lévitation.
- Ensuite, pour tout dire on a laissé le noble pour mort, il l'est sans doute mais peut-être pas. J'ai dit au pilote de l'hélico de faire envoyer une équipe de netoyage avec un ou deux ésothères plus des gens ayant la maîtrise élémentaire du feu. Y'en a pas des masses, mais contre un noble à moitié mort ils risquaient rien. Et puis il était peutêtre sans dotue déja mort. Mais bon, au cas où, laisser un truc pareil libre à Los Angeles, c'est pas une bonne idée.
Il marqua une pause. Il espérait vraiment que Lunne était venue à bout du Noble. Malgrès ce qu'il avait dit, il était fort possible que l'ectoplasme ait reçut des renforts qui eussent détruit l'escouade. Mais bon, Byleth semble assez sur de ses Nobles. Alors sans doute que ce n'était pas la peine de s'inquiéter.
- Après moi je risquait pas d'être blessé j'ai pas combatut. Bon après Lunne n'a aux dernières nouvelles rien. Bon par contre Erik a eut chaud. Il a beau être un dieu, il a quand même faillit y passer. Après pour ce qui est du corp de notre Korrigane nationnale...
Il renifla l'air. Une fois.
- ... visiblement elle est dedans.
Amoniaque-
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Re: Entrevue d'Alcyde
Shuri poussa un profond soupir de soulagement, se rendant compte à l'occasion qu'elle avait arrêté de respirer pendant un moment. Lunne, son maître, son amie était vivante. Et sans doute pour un bout de temps encore. Après avoir survécu à un Noble, forcément...
-Je vais aller lui rendre visite dans ce cas. Enfin, je vais la laisser se reposer avant.
Après coup, la possibilité pour que le Noble soit encore en vie la tracassait un peu. Mais elle décida de faire confiance aux équipes laissées sur place. Le moment n'était plus temps de s'inquiéter, mais de récupérer pour le prochain affrontement.
Apercevant alors Alcyde qui avait réussi à rattraper Pioupiou, Shuri se souvint de pourquoi ils étaient venus.
-Dis-moi Amoniaque, le directeur n'est pas là ? Alcyde devait lui parler et ça semblait important.
-Je vais aller lui rendre visite dans ce cas. Enfin, je vais la laisser se reposer avant.
Après coup, la possibilité pour que le Noble soit encore en vie la tracassait un peu. Mais elle décida de faire confiance aux équipes laissées sur place. Le moment n'était plus temps de s'inquiéter, mais de récupérer pour le prochain affrontement.
Apercevant alors Alcyde qui avait réussi à rattraper Pioupiou, Shuri se souvint de pourquoi ils étaient venus.
-Dis-moi Amoniaque, le directeur n'est pas là ? Alcyde devait lui parler et ça semblait important.
Shuri-
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Re: Entrevue d'Alcyde
- Oh, tel que je le connait il a gréé sa goellette et est partit se faire une petite ballade. Il déteste rester dans son bureau toute la journée.
A moins qu'il ne se soit abscenté pour des motifs plus importants. Et quand on a déjà combattut sous ses ordres, on sait que ça fera au moins une équipe qui rentre sans la moindre perte.
Il se tourna vers Alcyde.
- Je vais te noter sur son carnet de rendez vous si tu veux, en trafiquant un peu je peux te faire passer dès qu'il rentre.
A moins qu'il ne se soit abscenté pour des motifs plus importants. Et quand on a déjà combattut sous ses ordres, on sait que ça fera au moins une équipe qui rentre sans la moindre perte.
Il se tourna vers Alcyde.
- Je vais te noter sur son carnet de rendez vous si tu veux, en trafiquant un peu je peux te faire passer dès qu'il rentre.
Amoniaque-
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Re: Entrevue d'Alcyde
Un homme se présenta à la porte de l'antichambre du bureau. Il portait un long pardessus bleu marine, et une casquette de marin. Ou de capitaine de marine, faut voir.
Son apparition en elle même était assez théatrale puisque il sortait de l'ascenseur éclairé par trois spots néon, pour débarquer dans l'antichambre, moins illuminée pour qu'on puisse profiter de la vue marine. Sous marine plutot.
- Laisse tomber Amoniaque. Ce ne sera pas nécéssaire. J'ai été informé de l'arrivé de Mr Fel, et j'avoue être assez pressé de le rencontrer.
On pouvait precevoir entre le farfadet et le directeur une vague familiarité. Peut-être celle de deux combattants qui se sont mutuellement rendu service au combat. Peut-être autre chose. Il s'avança dans l'espèce de couloir en verre résistant à la pression sous marine.
De son être se dégageait une certaine aura. Il dégageait une sorte une sorte de puissance mélée à autre chose qui donnait envie de lui faire confiance. Une espèce d'honnêteté en mieu.
- Bien, alors si vous voulez bien nous laisser, je crois que ces affaires ne vous concernent pas directement.
Sa voie elle même était spéciale, teinté d'une sorte de sérieux désintéressé.
Il se tourna vers Alcyde, et d'une voie polie, qui malgrès tout n'impliquait aucune discussion lui dit.
- Si vous voulez bien me suivre...
Et il s'engagea dans son bureau. Et une fois que Alcyde y fut entré, les portes se refermèrent, laissant Amoniaque et Shuri à l'extérieur.
Son apparition en elle même était assez théatrale puisque il sortait de l'ascenseur éclairé par trois spots néon, pour débarquer dans l'antichambre, moins illuminée pour qu'on puisse profiter de la vue marine. Sous marine plutot.
- Laisse tomber Amoniaque. Ce ne sera pas nécéssaire. J'ai été informé de l'arrivé de Mr Fel, et j'avoue être assez pressé de le rencontrer.
On pouvait precevoir entre le farfadet et le directeur une vague familiarité. Peut-être celle de deux combattants qui se sont mutuellement rendu service au combat. Peut-être autre chose. Il s'avança dans l'espèce de couloir en verre résistant à la pression sous marine.
De son être se dégageait une certaine aura. Il dégageait une sorte une sorte de puissance mélée à autre chose qui donnait envie de lui faire confiance. Une espèce d'honnêteté en mieu.
- Bien, alors si vous voulez bien nous laisser, je crois que ces affaires ne vous concernent pas directement.
Sa voie elle même était spéciale, teinté d'une sorte de sérieux désintéressé.
Il se tourna vers Alcyde, et d'une voie polie, qui malgrès tout n'impliquait aucune discussion lui dit.
- Si vous voulez bien me suivre...
Et il s'engagea dans son bureau. Et une fois que Alcyde y fut entré, les portes se refermèrent, laissant Amoniaque et Shuri à l'extérieur.
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Re: Entrevue d'Alcyde
Une fois Alcyde et le directeur dans le bureau, Shuri se demanda ce qu'elle allait faire. Elle avait dit à son nouvel ami qu'elle l'attendrait, mais elle ignorait combien de temps allait durer l'entretien. En plus, maintenant qu'Amoniaque lui avait annoncé leur retour, elle avait très envie d'aller voir Lunne pour prendre de ses nouvelles et....lui poser certaines questions.
Après avoir pesé le pour et le contre pendant quelques seconde, elle décida qu'Alcyde serait bien capable de visiter un peu Tendra sans elle, qu'elle pourrait toujours le rejoindre et que de toute manière, s'il restait ici ce qui avait de fortes chances d'arriver selon elle, elle aurait souvent l'occasion de le voir. Elle déclara donc au farfadet :
-Je vais te laisser, j'aimerais prendre des nouvelles de Lunne et faire une sieste. A plus tard !
Elle attrapa Blizzard au vol, adressa un dernier sourire et un signe de la main à Amoniaque, puis se téléporta, direction les couloirs de la Tour Ouest.
Après avoir pesé le pour et le contre pendant quelques seconde, elle décida qu'Alcyde serait bien capable de visiter un peu Tendra sans elle, qu'elle pourrait toujours le rejoindre et que de toute manière, s'il restait ici ce qui avait de fortes chances d'arriver selon elle, elle aurait souvent l'occasion de le voir. Elle déclara donc au farfadet :
-Je vais te laisser, j'aimerais prendre des nouvelles de Lunne et faire une sieste. A plus tard !
Elle attrapa Blizzard au vol, adressa un dernier sourire et un signe de la main à Amoniaque, puis se téléporta, direction les couloirs de la Tour Ouest.
Shuri-
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Re: Entrevue d'Alcyde
Amoniaque resté seul passa dix bonnes minutes à comtempler les fonds marins. Puis il fourra ses mains dans ses poches et s'en alla en sifflotant The Age Of the Understatment.
Il n'avait pas de destination présise où aller. Peut-être irait-il s'enquérir de la situation à Los Angeles. Ou bien il irait peut-être s'entrainer au Dojo. Il n'en avait aucune idée. Mais il se débrouillerait bien pour trouver à s'occuper. Et après tout, pourquois ne se trouverait-il pas un coins tranquille pour bouquiner. Ou jouer de la gratte à voir.
C'est ce genre de préocupation dans la tête qu'il tapa le code de l'ascenseur, y entra et appuya sur le bouton du rez de chaussé. Après qu'il ai jeté un ultime regard aux fonds marins, les portes se refermèrent, emportant avec elle l'image.
Il n'avait pas de destination présise où aller. Peut-être irait-il s'enquérir de la situation à Los Angeles. Ou bien il irait peut-être s'entrainer au Dojo. Il n'en avait aucune idée. Mais il se débrouillerait bien pour trouver à s'occuper. Et après tout, pourquois ne se trouverait-il pas un coins tranquille pour bouquiner. Ou jouer de la gratte à voir.
C'est ce genre de préocupation dans la tête qu'il tapa le code de l'ascenseur, y entra et appuya sur le bouton du rez de chaussé. Après qu'il ai jeté un ultime regard aux fonds marins, les portes se refermèrent, emportant avec elle l'image.
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Re: Entrevue d'Alcyde
[Désolé, j'ai eu une absence dont j'ai oublié de faire part...]
Ayant préféré rester coi pendant les retrouvailles du farfadet et de Shuri, Alcyde fut prit d'une sensation étrange, mêlée de peur et d'excitation, quand il senti une présence étrange et différente de toutes celles qu'il avait déjà ressenti. Il se tourna lentement vers ce qui semblait... Non, ce qu'il SAVAIT être le directeur. C'était étrange, mais tout cet être, à son allure et ce qui se dégageait de lui, semblait faire qu'au premier regard on eu sût qu'il s'agissait du directeur de Tendra. Laissant Pioupiou dehors, lui fesant signe de suivre Shuri, Alcyde tenta de sonder cette personne, mais sans y arriver. Il se sentant cependant, irrémédiablement et étrangement en confiance dans cette grande ombre qui donnait une impression de grand-père bienveillant et de protecteur inébranlable. Les mots sortant cette fois plus vite que la pensée, Alcyde répliqua:
"J'avoue que moi aussi j'avais hâte de vous rencontrer Mr le directeur..."
Pénétrant à nouveau dans la pièce obscure, Alcyde eu cependant l'impression d'être dans un lieu différent. Rien que par la présence de son propriétaire, la pièce devenait plus accueillante. Plus chaleureuse. Comme si elle reprenait vie. Et pourtant, quelque chose intimait le respect et l'obéissance, comme si le simple fait d'y entrer signifiait la soumission... Examinant la pièce d'un oeil nouveau, les documents trouvés sur le bureau lui sortirent presque de l'esprit, alors qu'il prit place sur une chaise confortable après invitation de son hôte. Croisant ses mains et tentant une nouvelle fois d'examiner, toujours sans succès, son interlocuteur, le jeune homme commença, sur un son ton neutre et bienveillant, mais pourtant un peu intimidé:
"Je n'irais pas par quatre chemins Monsieur. On a tenté de me vendre comme esclave, et le hasard a voulu que mon parachute tombe sur votre école. Je pensais vouloir trouver un moyen de partir et rentrer, mais après réflexion, plus rien ne m'attends sur le continent. Je ne vous demanderais pas de me laisser intégrer votre école sans me présenter, ce serait malpoli et inconvenu. Comme vous semblez déjà le savoir, je m'appelle Alcyde Fell. Je suis âgé de 18 ans, je manie la chimie avec un certain doigté, et j'adore le chocolat. Mais avant d'en dire plus, j'aimerais que vous confirmiez un doute... Vous semblez étrangement, et ce depuis tout à l'heure, savoir plus de choses sur moi que je ne veux bien en dire... *haussant le sourcil* Je me trompe...?"
Cette fois-ci, le ton du jeune homme avait un peu monté en agressivité. Il n'aimait pas qu'on en sache trop sur lui, et le fait de se sentir espionné de l'interieur par cet individu mystérieux lui déplaisait au plus haut point, bien qu'un respect et une légère intimidation lui empêchait tout geste agressif.
Ayant préféré rester coi pendant les retrouvailles du farfadet et de Shuri, Alcyde fut prit d'une sensation étrange, mêlée de peur et d'excitation, quand il senti une présence étrange et différente de toutes celles qu'il avait déjà ressenti. Il se tourna lentement vers ce qui semblait... Non, ce qu'il SAVAIT être le directeur. C'était étrange, mais tout cet être, à son allure et ce qui se dégageait de lui, semblait faire qu'au premier regard on eu sût qu'il s'agissait du directeur de Tendra. Laissant Pioupiou dehors, lui fesant signe de suivre Shuri, Alcyde tenta de sonder cette personne, mais sans y arriver. Il se sentant cependant, irrémédiablement et étrangement en confiance dans cette grande ombre qui donnait une impression de grand-père bienveillant et de protecteur inébranlable. Les mots sortant cette fois plus vite que la pensée, Alcyde répliqua:
"J'avoue que moi aussi j'avais hâte de vous rencontrer Mr le directeur..."
Pénétrant à nouveau dans la pièce obscure, Alcyde eu cependant l'impression d'être dans un lieu différent. Rien que par la présence de son propriétaire, la pièce devenait plus accueillante. Plus chaleureuse. Comme si elle reprenait vie. Et pourtant, quelque chose intimait le respect et l'obéissance, comme si le simple fait d'y entrer signifiait la soumission... Examinant la pièce d'un oeil nouveau, les documents trouvés sur le bureau lui sortirent presque de l'esprit, alors qu'il prit place sur une chaise confortable après invitation de son hôte. Croisant ses mains et tentant une nouvelle fois d'examiner, toujours sans succès, son interlocuteur, le jeune homme commença, sur un son ton neutre et bienveillant, mais pourtant un peu intimidé:
"Je n'irais pas par quatre chemins Monsieur. On a tenté de me vendre comme esclave, et le hasard a voulu que mon parachute tombe sur votre école. Je pensais vouloir trouver un moyen de partir et rentrer, mais après réflexion, plus rien ne m'attends sur le continent. Je ne vous demanderais pas de me laisser intégrer votre école sans me présenter, ce serait malpoli et inconvenu. Comme vous semblez déjà le savoir, je m'appelle Alcyde Fell. Je suis âgé de 18 ans, je manie la chimie avec un certain doigté, et j'adore le chocolat. Mais avant d'en dire plus, j'aimerais que vous confirmiez un doute... Vous semblez étrangement, et ce depuis tout à l'heure, savoir plus de choses sur moi que je ne veux bien en dire... *haussant le sourcil* Je me trompe...?"
Cette fois-ci, le ton du jeune homme avait un peu monté en agressivité. Il n'aimait pas qu'on en sache trop sur lui, et le fait de se sentir espionné de l'interieur par cet individu mystérieux lui déplaisait au plus haut point, bien qu'un respect et une légère intimidation lui empêchait tout geste agressif.
Re: Entrevue d'Alcyde
Sur un ton parfaitement franc, Frusciente répondit. Il n'avait rien à cacher. Et d'ailleurs, moins il cacherait, mieu ce serait.
- Ce n'est pas le cas je dois le reconnaitre. Cependant, vous m'en apprenez à vos dépend beaucoup plus que vous ne le voulez. On voit par exemple tout de suite que vous évitez la violence.
Le directeur regarda Alcyde par dessus ses doits entremélés.
- Sachez que j'ai pour habitude d'être en posséssion des informations concernant la majorité des gens transitant par ici. Elèves, soldats, professeurs ou visiteur, peut m'importe. Plus j'en sais, moins je cours le risque d'être en présence d'un agent infiltré d'un gouvernement terrien qui aimerait bien savoir ce que je fait pour en faire profiter a sa nation, ou pire d'un espion de Byleth qui voudrait saper la COAL de l'intérieur.
Puis il se leva. Alluma quelques écrans plasma encastrés dans le mur. Ils montraient des classes en entrainement, des couloirs, la salle à manger qui commençait à se remplir... Il les regarda pendant quelques instants. Puis avec un hochement de tête aprobateur il les éteingnit tous.
- Pour ce qui en est de votre nom, sachez que j'ai moi même mit des micros et des caméras dans ce bureau. Tout ce qui y est dit est enregistré et stocké dans différents endroits que je ne vous communiquerais pas, comprenez le.
Il retourna s'assoir derrière son bureau. D'un tiroir il sortit un ordinateur portable extrèmement fin. Et qui semblait pourtant d'une solidité à toute épreuve. Il l'alluma. Puis, après une trentaine de secondes, il prit une télécomande, et un écran sur le mur derrière lui s'alluma. Il retranscrivait les images du portable. C'est à dire sur un fond représentant le symbole de Tendra, quatres dossiers sur lesquels on pouvait lire : inscription 1, 2, 3 et 4.
- Je pense très sérieusement pouvoir vous faire confiance. Soit vous êtes parfaitement honnête, soit vous êtes le meilleur menteur que je connaisse. Les probalités pour que vous soyez un menteur sont heuresement pour vous extrèmement faibles.
Il marqua une pause et adressa à Alcyde un demi sourire qu'on pourrait qualifier de paternel.
- Maintenant, dites moi ce que vous pensez pouvoir et vouloir faire dans cet institut ?
- Ce n'est pas le cas je dois le reconnaitre. Cependant, vous m'en apprenez à vos dépend beaucoup plus que vous ne le voulez. On voit par exemple tout de suite que vous évitez la violence.
Le directeur regarda Alcyde par dessus ses doits entremélés.
- Sachez que j'ai pour habitude d'être en posséssion des informations concernant la majorité des gens transitant par ici. Elèves, soldats, professeurs ou visiteur, peut m'importe. Plus j'en sais, moins je cours le risque d'être en présence d'un agent infiltré d'un gouvernement terrien qui aimerait bien savoir ce que je fait pour en faire profiter a sa nation, ou pire d'un espion de Byleth qui voudrait saper la COAL de l'intérieur.
Puis il se leva. Alluma quelques écrans plasma encastrés dans le mur. Ils montraient des classes en entrainement, des couloirs, la salle à manger qui commençait à se remplir... Il les regarda pendant quelques instants. Puis avec un hochement de tête aprobateur il les éteingnit tous.
- Pour ce qui en est de votre nom, sachez que j'ai moi même mit des micros et des caméras dans ce bureau. Tout ce qui y est dit est enregistré et stocké dans différents endroits que je ne vous communiquerais pas, comprenez le.
Il retourna s'assoir derrière son bureau. D'un tiroir il sortit un ordinateur portable extrèmement fin. Et qui semblait pourtant d'une solidité à toute épreuve. Il l'alluma. Puis, après une trentaine de secondes, il prit une télécomande, et un écran sur le mur derrière lui s'alluma. Il retranscrivait les images du portable. C'est à dire sur un fond représentant le symbole de Tendra, quatres dossiers sur lesquels on pouvait lire : inscription 1, 2, 3 et 4.
- Je pense très sérieusement pouvoir vous faire confiance. Soit vous êtes parfaitement honnête, soit vous êtes le meilleur menteur que je connaisse. Les probalités pour que vous soyez un menteur sont heuresement pour vous extrèmement faibles.
Il marqua une pause et adressa à Alcyde un demi sourire qu'on pourrait qualifier de paternel.
- Maintenant, dites moi ce que vous pensez pouvoir et vouloir faire dans cet institut ?
Mr Frusciente.- Nombre de messages : 5
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Re: Entrevue d'Alcyde
Aïe. Caméras et micros. Donc cela voulait dire que le directeur savait qu'Alcyde avait vu ce qu'il avait vu. Le jeune homme eu un regard très bref vers les feuilles qu'il avait consulté plus tôt, et senti malgré sa breveté que ce mouvement avait été perçu du directeur. C'est donc un peu tendu qu'il écoutait les explications de Mr. Frusciente. 1. 2. 3. 4. Ces chiffres dansèrent un instant dans l'esprit d'Alcyde, qui ne put s'empêcher de se demander ce qui se trouvait là, mais restant neutre du visage, il fut amusé à l'idée qu'on aurait pû le prendre pour un menteur, lui qui ne disait la plupart du temps que la vérité.
- Maintenant, dites moi ce que vous pensez pouvoir et vouloir faire dans cet institut ?
Pouvoir... Vouloir... Deux mots simples et pourtant si lourds de sens. Toute action entraîne une réaction, chaque cause une conséquence, mais à la fin reste toujours un seul mot: pourquoi. Le pourquoi est une notion de pouvoir sur les autres, car l'assurance intimide, mais également de pouvoir sur soi, car le pourquoi rassure. En ce moment, le pourquoi d'Alcyde devait être en vacance, car tout ce qu'il trouva à répondre c'est:
"Rien..."
Temps de pause. Alcyde scruta une réaction dans ces yeux qui en avaient vu d'autres. Il eu l'impression de sentir en lui tous ceux qui, bien avant lui, avait transité dans ce bureau. Les autres? Qu'avaient-ils dit les autres? Pas grand chose sûrement. Ils avaient dû se contenter d'écouter. Le jeune homme regarda le plafond. Puis souriant à moitié, il replongea dans le regard de Mr. Frusciente.
"Mais je n'attends rien non plus... Principe d'échange équivalent..."
Y aller au culot... Alcyde n'avait pas fait ça depuis des années... Cependant, mû par un étrange sentiment de vide qui se comble, il se redressa sur sa chaise et entama l'explication de son point de vue.
"Il n'y a personne à qui je tiens sur cette planète, alors qu'elle soit détruite ou non, je n'en ai pas grand chose à faire. Seulement, je n'ai pas de but dans la vie, rien qui m'a jamais attaché à vivre, et, comme vous le savez, sans but on ne vit pas bien longtemps, ou alors d'une vie tourmentée... J'aimerais vous proposer quelque chose Mr. Le directeur, et qu'à cela ne tienne si vous pensez que je ne vous servirais à rien: donnez moi un but, et en échange je vous donnerais la seule chose que je possède: ma vie."
Alors, ptit malin? Content? T'as vidé ton sac? Mais t'as pas l'air con maintenant... C'est ce que se sermonnait Alcyde à lui même à peine eut-il finit sa phrase. Mais il devait ouvrir les yeux: sans but il finirait par dépérir. Au moins se placer sous les ordres de quelqu'un pourrait-il lui permettre d'avoir un but auquel s'attacher... Mais une dernière pensée brûlait les lèvres du jeune homme. Et tel si sa pensée avait été libérée par cette homme plein de bienveillance, il rajouta:
"... Cependant je ne suis pas un chien à qui on peut exiger soumission totale..."
- Maintenant, dites moi ce que vous pensez pouvoir et vouloir faire dans cet institut ?
Pouvoir... Vouloir... Deux mots simples et pourtant si lourds de sens. Toute action entraîne une réaction, chaque cause une conséquence, mais à la fin reste toujours un seul mot: pourquoi. Le pourquoi est une notion de pouvoir sur les autres, car l'assurance intimide, mais également de pouvoir sur soi, car le pourquoi rassure. En ce moment, le pourquoi d'Alcyde devait être en vacance, car tout ce qu'il trouva à répondre c'est:
"Rien..."
Temps de pause. Alcyde scruta une réaction dans ces yeux qui en avaient vu d'autres. Il eu l'impression de sentir en lui tous ceux qui, bien avant lui, avait transité dans ce bureau. Les autres? Qu'avaient-ils dit les autres? Pas grand chose sûrement. Ils avaient dû se contenter d'écouter. Le jeune homme regarda le plafond. Puis souriant à moitié, il replongea dans le regard de Mr. Frusciente.
"Mais je n'attends rien non plus... Principe d'échange équivalent..."
Y aller au culot... Alcyde n'avait pas fait ça depuis des années... Cependant, mû par un étrange sentiment de vide qui se comble, il se redressa sur sa chaise et entama l'explication de son point de vue.
"Il n'y a personne à qui je tiens sur cette planète, alors qu'elle soit détruite ou non, je n'en ai pas grand chose à faire. Seulement, je n'ai pas de but dans la vie, rien qui m'a jamais attaché à vivre, et, comme vous le savez, sans but on ne vit pas bien longtemps, ou alors d'une vie tourmentée... J'aimerais vous proposer quelque chose Mr. Le directeur, et qu'à cela ne tienne si vous pensez que je ne vous servirais à rien: donnez moi un but, et en échange je vous donnerais la seule chose que je possède: ma vie."
Alors, ptit malin? Content? T'as vidé ton sac? Mais t'as pas l'air con maintenant... C'est ce que se sermonnait Alcyde à lui même à peine eut-il finit sa phrase. Mais il devait ouvrir les yeux: sans but il finirait par dépérir. Au moins se placer sous les ordres de quelqu'un pourrait-il lui permettre d'avoir un but auquel s'attacher... Mais une dernière pensée brûlait les lèvres du jeune homme. Et tel si sa pensée avait été libérée par cette homme plein de bienveillance, il rajouta:
"... Cependant je ne suis pas un chien à qui on peut exiger soumission totale..."
Re: Entrevue d'Alcyde
Le regard profond de Ray pénêtra dans celui d'Alcyde. Il sonda au plus profond le jeune homme. Et il sourit. Pas un sourire simplet. Un sourire satisfait. Un sourire de meneur d'homme qui vient de trouver une recrue pour reculer encore un peu l'échéance de la fin du monde.
- Tu as un oiseau n'est-ce pas ? Enfin un truc qui y ressemble.
Alcyde ne comprenant pas où voulait en venir le directeur ne fit qu'hocher brièvement la tête.
- Tu sais, ton oiseau survivrait sans doute si Byleth arrivait à ses fins. Toi non. Alors c'est sur, quelqu'un qui court autant de risque en vagabondant je ne sais où sur terre que ce soit avec des monstres avides de son sang ou des humains avides de ses capacités... Ca ne change pas grand chose. La mort ou l'esclavage. Moi-même je choisirait de mourir. Alors je ne te blâme pas de n'en avoir rien à foutre que cette putain de planette soit ou non purgée de l'espèce humaine.
Pour un directeur il s'exprimait plutot cruement. Mais n'oublions pas que c'est avant tout un marin. Qui plus est un pirate, et ensuite un combattant plus ou moins militaire. Alors c'est sur c'est pas le genre cagne hypocagne. Les études de lettres... C'est pas son créneau.
- Mais réfléchit deux secondes. Je vais te donner trois arguments pour que tu reste ici, et tu me diras si ils sont valables. Sinon je t'enverrais là où je suis sur qu'il n'y a pas de trace d'une quelquonque organisation mafieuse capable de te mettre la main dessus. Enfin avant ça, sache que je ne suis pas un chef despotique. Mais les ordres que je donne doivent être éxécutés. Et complètement. Puisque je me débrouille pour que ce soient des actions réalisables par le destinataire de l'ordre, en incluant la majorité des variantes possibles. Ce qui fait que si ça se passe sans problème, c'est aisément réalisable. Et si tu estime n'en être pas capable, dis le. Le manque confiance nuit à l'execution d'une action. Bref revenons à nos moutons.
Il marqua une pause. Comme pour marquer la théatralité de l'instant.
- Tout d'abors, premier argument donc, cet endroit n'a pas une vocation uniquement militaire. Je ne te sens pas passionné de combat. Non, cet institut, bien que son but premier soit la lutte contre la menace monstre, oeuvre pour préserver l'espèce humaine. Elle a beau avoir ses défaults, on peut dire qu'on l'aime bien quand même. Nous avons donc des scientifiques, des chimistes qui créent, en partie grace à la magie ou la technologie lunaire, des plantes ou des machines sans le moindre impact sur l'environnement et qui permettent de faciliter la vie des populations les plus mal lotties. Ainsi nous envoyons des semences de riz à croissance et à valeur nutritionnelle accélérée aux populations victimes en asie, afrique... Semences fertiles qui plus est. Enfin tu vois le genre. Je ne peux pas te dire tout. Beaucoup de choses sont top secrètes. Pour l'instant en tout cas. Bref, si tu n'aime pas te battre, tu peux toujours essayer de rendre le monde meilleur, et je ne vois pas de buts plus louable que celui-ci, de ce genre de manière.
On aurait dit qu'il avait littéralement souligné une partie de son discours. En fait il avait simplement haussé le ton de manière à montrer l'importance de ce propos.
- Deuxième argument. En restant ici, tu rencontrera sans aucun doutes des gens qui t'apréciront et t'aimerons. Je ne veux pas jouer au hippy - bien que je n'ai rien contre cette philosophie - mais tu te sentiras moins désintéressé de l'avenir de l'humanité si tu as des gens qui sont à ton âme d'une importance capitale.
Tu me diras peut-être que c'est stupide, mais c'est vrai faute de mieu.
Il s'autorisa un léger sourire. Parler d'amour fraternel quand on pense à la manière de mettre en échec un plan diabolique en étant en infériorité numérique, c'est assez dérisoire. Mais il savait que beaucoup des gens qui étaient aujourd'hui en train de s'entrainer dans les gymnases étaient là pour protégers des gens qu'ils aimaient. Enfin essayer. Parceque certain servent pas à grand chose. Mais il ne s'autorisa même pas cette remarque. Le fait d'être là c'était deja contribuer à la lutte. Chacun est utile.
- Et enfin, je crois que ce n'est quand même pas négligeable si jamais ni l'avenir de l'humanité, si jamais protéger des gens sympathiques te laissent froids. Il faut que tu sache que toi tu es un humain. Et que tu risque fort d'y passer. Sans oublier ton volatile qui vole pas. Parce que il seras avec toi. Or je pense que vous êtes unis par je ne sais quel lien fort. Mais en tout cas vous ne pourrez pas vous séparer. Et je doute que causer la mort de Pioupiou, puisque c'est son nom, te seras supportable, et que même les limbes de l'enfer te sembleront à coté de cette pensée un paradis.
Le discourt était dur. Mais juste. On lui avait demandé un but. Il n'en avait pas à proprement parlé donné. Mais il avait trois raisons. Trois raisons qui par rapport au profil psychologique visible d'Alcyde risquaient fort de faire mouche. Soit les trois, soit les deux derniers. Soit uniquement le dernier. Mais le dernier au moins.
- Une dernière chose. Ne pense pas que je te manipule. Je te dis la vérité. Enfin ce que, après une analyse et une réflexion aprofondie, je considère comme étant ce qui à le plus de chance statistiquement de se produire.
Il savait qu'Alcyde n'aimerait pas se sentir manipulé, alors il avait joué cartes sur tables. Maintenant, les dés étaient jetés.
- Tu as un oiseau n'est-ce pas ? Enfin un truc qui y ressemble.
Alcyde ne comprenant pas où voulait en venir le directeur ne fit qu'hocher brièvement la tête.
- Tu sais, ton oiseau survivrait sans doute si Byleth arrivait à ses fins. Toi non. Alors c'est sur, quelqu'un qui court autant de risque en vagabondant je ne sais où sur terre que ce soit avec des monstres avides de son sang ou des humains avides de ses capacités... Ca ne change pas grand chose. La mort ou l'esclavage. Moi-même je choisirait de mourir. Alors je ne te blâme pas de n'en avoir rien à foutre que cette putain de planette soit ou non purgée de l'espèce humaine.
Pour un directeur il s'exprimait plutot cruement. Mais n'oublions pas que c'est avant tout un marin. Qui plus est un pirate, et ensuite un combattant plus ou moins militaire. Alors c'est sur c'est pas le genre cagne hypocagne. Les études de lettres... C'est pas son créneau.
- Mais réfléchit deux secondes. Je vais te donner trois arguments pour que tu reste ici, et tu me diras si ils sont valables. Sinon je t'enverrais là où je suis sur qu'il n'y a pas de trace d'une quelquonque organisation mafieuse capable de te mettre la main dessus. Enfin avant ça, sache que je ne suis pas un chef despotique. Mais les ordres que je donne doivent être éxécutés. Et complètement. Puisque je me débrouille pour que ce soient des actions réalisables par le destinataire de l'ordre, en incluant la majorité des variantes possibles. Ce qui fait que si ça se passe sans problème, c'est aisément réalisable. Et si tu estime n'en être pas capable, dis le. Le manque confiance nuit à l'execution d'une action. Bref revenons à nos moutons.
Il marqua une pause. Comme pour marquer la théatralité de l'instant.
- Tout d'abors, premier argument donc, cet endroit n'a pas une vocation uniquement militaire. Je ne te sens pas passionné de combat. Non, cet institut, bien que son but premier soit la lutte contre la menace monstre, oeuvre pour préserver l'espèce humaine. Elle a beau avoir ses défaults, on peut dire qu'on l'aime bien quand même. Nous avons donc des scientifiques, des chimistes qui créent, en partie grace à la magie ou la technologie lunaire, des plantes ou des machines sans le moindre impact sur l'environnement et qui permettent de faciliter la vie des populations les plus mal lotties. Ainsi nous envoyons des semences de riz à croissance et à valeur nutritionnelle accélérée aux populations victimes en asie, afrique... Semences fertiles qui plus est. Enfin tu vois le genre. Je ne peux pas te dire tout. Beaucoup de choses sont top secrètes. Pour l'instant en tout cas. Bref, si tu n'aime pas te battre, tu peux toujours essayer de rendre le monde meilleur, et je ne vois pas de buts plus louable que celui-ci, de ce genre de manière.
On aurait dit qu'il avait littéralement souligné une partie de son discours. En fait il avait simplement haussé le ton de manière à montrer l'importance de ce propos.
- Deuxième argument. En restant ici, tu rencontrera sans aucun doutes des gens qui t'apréciront et t'aimerons. Je ne veux pas jouer au hippy - bien que je n'ai rien contre cette philosophie - mais tu te sentiras moins désintéressé de l'avenir de l'humanité si tu as des gens qui sont à ton âme d'une importance capitale.
Tu me diras peut-être que c'est stupide, mais c'est vrai faute de mieu.
Il s'autorisa un léger sourire. Parler d'amour fraternel quand on pense à la manière de mettre en échec un plan diabolique en étant en infériorité numérique, c'est assez dérisoire. Mais il savait que beaucoup des gens qui étaient aujourd'hui en train de s'entrainer dans les gymnases étaient là pour protégers des gens qu'ils aimaient. Enfin essayer. Parceque certain servent pas à grand chose. Mais il ne s'autorisa même pas cette remarque. Le fait d'être là c'était deja contribuer à la lutte. Chacun est utile.
- Et enfin, je crois que ce n'est quand même pas négligeable si jamais ni l'avenir de l'humanité, si jamais protéger des gens sympathiques te laissent froids. Il faut que tu sache que toi tu es un humain. Et que tu risque fort d'y passer. Sans oublier ton volatile qui vole pas. Parce que il seras avec toi. Or je pense que vous êtes unis par je ne sais quel lien fort. Mais en tout cas vous ne pourrez pas vous séparer. Et je doute que causer la mort de Pioupiou, puisque c'est son nom, te seras supportable, et que même les limbes de l'enfer te sembleront à coté de cette pensée un paradis.
Le discourt était dur. Mais juste. On lui avait demandé un but. Il n'en avait pas à proprement parlé donné. Mais il avait trois raisons. Trois raisons qui par rapport au profil psychologique visible d'Alcyde risquaient fort de faire mouche. Soit les trois, soit les deux derniers. Soit uniquement le dernier. Mais le dernier au moins.
- Une dernière chose. Ne pense pas que je te manipule. Je te dis la vérité. Enfin ce que, après une analyse et une réflexion aprofondie, je considère comme étant ce qui à le plus de chance statistiquement de se produire.
Il savait qu'Alcyde n'aimerait pas se sentir manipulé, alors il avait joué cartes sur tables. Maintenant, les dés étaient jetés.
Mr Frusciente.- Nombre de messages : 5
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Date d'inscription : 16/05/2008
Re: Entrevue d'Alcyde
Bobo. Ca fesait bobo ce que Mr. Frusciente venait de dire. Mais c'était vrai, Alcyde le sentait bien. Il considera un moment son interlocuteur, et finit par émettre un petit rire étouffé, avant de faire sauter en l'air une de ses fioles. Pleine. Il la fesait sauter comme fesaient sauter dans leur main une pièce de cinq cents les anciens gangsters de Chicago. Son expression s'était durcie. Très durcie. On avait plus affaire à un colosse au visage d'ange, et à le regarder on pouvait croire voir un autre homme. Un homme qui coincidait enfin avec ce corps de géant. Il sortit, au rythme des bonds de la fiole, une phrase par argument.
"Primo, je tiens pas à rester enfermé dans un laboratoire souterrain dans lequel je me ferais péter des fioles de je ne sais quel bacterie experimentale."
"Secundo, je suis ni pro ni anti-hyppie. Mais je trouve qu'ils ont une sale tronche."
"Tercio... Tercio que ce soit sans vous ou avec vous, je trouverais bien un moyen d'empêcher mon seul ami restant mourir."
Cette dernière phrase, qui eu un peu de mal à sortir, se conclut par le dernier bond de la fiole, qui fesait luire son liquide orangé dans la main du colosse. Il défiait à présent le directeur de Tendra du regard, tentant de le convaincre d'une chose dont il n'était même pas sûr, du fait qu'il était autre chose qu'un type se prenant les coups et tendant l'autre joue. Puis son expression se radoucit. Radicalement. Il avait reprit son expression neutre mais bienveillante.
"Cependant, vos arguments sont tout à fait valables, et je ne vois aucune raison de ne pas les accepter."
Le jeune homme regarda un instant sa main. Une folle pensée traversait à présent son esprit. Oui, il était adepte de la non-violence. Oui, il n'aimait pas se battre... Mais en réalité, il ne le ressentit qu'à partir de maintenant, et peut être fut-ce grâce au discours de Mr. Frusciente, mais en réalité il ne détestait pas se battre. Il détestait juste devoir tuer ou blesser des gens. Cette pensée fut comme représentée sur tout son corps par un grand relachament de son attitude qui n'avait sûrement pas échappé aux yeux experts du directeur de Tendra. Et c'est avec ce regard connu de tous, empli d'une envie de se battre, non pas pour tuer, mais pour le plaisir procuré par l'adrénaline, qu'Alcyde fixa le directeur. Il ne disait mot, mais son regard traduisait à lui seul tout ce que son corps ressentait. Un besoin atroce d'adrénaline. Pour tout dire, trop d'événements s'étaient produits réçament, et cela avait provoqué en Alcyde une grande envie de relâcher cette pression qui s'accumulait, et fessait dès à présent éclater la cocote-minute.
"Primo, je tiens pas à rester enfermé dans un laboratoire souterrain dans lequel je me ferais péter des fioles de je ne sais quel bacterie experimentale."
"Secundo, je suis ni pro ni anti-hyppie. Mais je trouve qu'ils ont une sale tronche."
"Tercio... Tercio que ce soit sans vous ou avec vous, je trouverais bien un moyen d'empêcher mon seul ami restant mourir."
Cette dernière phrase, qui eu un peu de mal à sortir, se conclut par le dernier bond de la fiole, qui fesait luire son liquide orangé dans la main du colosse. Il défiait à présent le directeur de Tendra du regard, tentant de le convaincre d'une chose dont il n'était même pas sûr, du fait qu'il était autre chose qu'un type se prenant les coups et tendant l'autre joue. Puis son expression se radoucit. Radicalement. Il avait reprit son expression neutre mais bienveillante.
"Cependant, vos arguments sont tout à fait valables, et je ne vois aucune raison de ne pas les accepter."
Le jeune homme regarda un instant sa main. Une folle pensée traversait à présent son esprit. Oui, il était adepte de la non-violence. Oui, il n'aimait pas se battre... Mais en réalité, il ne le ressentit qu'à partir de maintenant, et peut être fut-ce grâce au discours de Mr. Frusciente, mais en réalité il ne détestait pas se battre. Il détestait juste devoir tuer ou blesser des gens. Cette pensée fut comme représentée sur tout son corps par un grand relachament de son attitude qui n'avait sûrement pas échappé aux yeux experts du directeur de Tendra. Et c'est avec ce regard connu de tous, empli d'une envie de se battre, non pas pour tuer, mais pour le plaisir procuré par l'adrénaline, qu'Alcyde fixa le directeur. Il ne disait mot, mais son regard traduisait à lui seul tout ce que son corps ressentait. Un besoin atroce d'adrénaline. Pour tout dire, trop d'événements s'étaient produits réçament, et cela avait provoqué en Alcyde une grande envie de relâcher cette pression qui s'accumulait, et fessait dès à présent éclater la cocote-minute.
Re: Entrevue d'Alcyde
Le directeur vit le sentiment "belliqueux" - faute de meilleur terme - se develloper dans les yeux d'Alcyde. Mais il décida de ne rien faire. Le geant ne pourrait jamais vraiment blesser un des élèves, non pas avec non niveau actuel, la musculature est innéficace contre un neuf milimètre braqué au niveau de la poitrine. Or la plupart des surveillants en plus d'être d'exellents combattants possèdent des armes de ce type. En plus gros desfois. Mais bon, générallement il ne les sortaient pas. Ce n'est pas vraiment nécéssaire.
- Très bien. Je vais t'exprimer deux conditions, et ensuite tu choisiras dans la mesure où c'est psychologiquement, physiologiquement, intelectuellement, et physiquement possible ce pour quoi tu veux être formé dans cet institut.
Il marqua une pause, juste le temps d'adresser au geant un regard aussi refroidisseur qu'un bloc d'hydrogène solide glissé dans le T-Shirt.
- Tout d'abors, si tu blesse un des pensionnaire de cet endroit, quel qu'il soit - j'ai dit blesser, pas égratiner, après tout c'est normal les petits conflits, non je parle de blessures graves - je te prévient que les sanctions seront bien plus lourde que pour un crime équivalent à l'extérieur. Simplement parceque les gens présents ici garantissent la sécurité relative du monde.
Ensuite, et ne l'oublie jamais. Si l'esprit d'initiative est toléré pour ceux qui ont fait leur preuves, je ne veux pas voir la moindre trace d'insubordination tant que tu ne seras pas promut Guerrier Argent, on d'un niveau équivalent ou supérieur. Les enjeux sont trop importants pour qu'une mission soit mise en péril par des gamins gonflés d'amour-propre.
Le regard de Frusciente se radoucit. Sa voix devint moins tranchante.
- Maintenant, si tu as bien comprit, dis-moi ce que tu veux faire ici.
- Très bien. Je vais t'exprimer deux conditions, et ensuite tu choisiras dans la mesure où c'est psychologiquement, physiologiquement, intelectuellement, et physiquement possible ce pour quoi tu veux être formé dans cet institut.
Il marqua une pause, juste le temps d'adresser au geant un regard aussi refroidisseur qu'un bloc d'hydrogène solide glissé dans le T-Shirt.
- Tout d'abors, si tu blesse un des pensionnaire de cet endroit, quel qu'il soit - j'ai dit blesser, pas égratiner, après tout c'est normal les petits conflits, non je parle de blessures graves - je te prévient que les sanctions seront bien plus lourde que pour un crime équivalent à l'extérieur. Simplement parceque les gens présents ici garantissent la sécurité relative du monde.
Ensuite, et ne l'oublie jamais. Si l'esprit d'initiative est toléré pour ceux qui ont fait leur preuves, je ne veux pas voir la moindre trace d'insubordination tant que tu ne seras pas promut Guerrier Argent, on d'un niveau équivalent ou supérieur. Les enjeux sont trop importants pour qu'une mission soit mise en péril par des gamins gonflés d'amour-propre.
Le regard de Frusciente se radoucit. Sa voix devint moins tranchante.
- Maintenant, si tu as bien comprit, dis-moi ce que tu veux faire ici.
Mr Frusciente.- Nombre de messages : 5
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