Un petit coup de mistral...
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Un petit coup de mistral...
Les cheuveux au vent Amoniaque gravissait l'instable colline. Il devait faire attention à ne pas trébucher sur les roches en équilibre incertain. Il se dirigeait vers la crète. D'après sa carte et les résonnaces du sol il y avait une combe derrière. Un endroit parfait pour se planquer : en dehors des lignes aériennes, protégé du vent, éloigné des chemins de randonnée. Et en même temps facile à défendre. Stratégiquement génial. En plus inreprable. Enfin pas pour tout le monde. La raison pour laquelle cet endroit est en dehors des lignes d'hélicoptère du samu, de la police, des pompiers... sont les lignes à haute tension qui bordent une partie de la crête et le vent de tout les diables qui souffle sur la zone et qui risquerait de déporter les appareils. Amoniaque arriva sur la crête en question. Derrière lui s'étendait la cité phocéènne, enfin assez loins derrière. Il prit le fusil à lunette qu'il portait sur son dos et observa l'intérieur de la combe. L'arme, sans aucun angle pouvant s'accrocher à un filet, ou se prendre dans un enchevètrement (les concepteurs ont bien regardé jurasik park II) tirait des fléchettes garnie d'un savant coktail de morphine, de cucare et d'endorphine (des substances universelles). En bas, le farfadet, qui avait pour l'occasion sous son sweat shirt, revêtut une armure légère en cuir renforcé par des plaques d'un alliage de titanium et d'argent, put contempler trois harpies qui fesaient joujou avec un cadavre de cheval. C'est pour ainsi pas un spectacle pour les enfants. Il réfléchit. Tirer d'ici ne servirait à rien, le vent déporterait la fléche. Il devait donc descendre, mais les bors étaient escarpés. Il murmura.
- Bah, ce sera pas la première fois.
Mais le vent emporta se paroles. Et il sauta. Relié à un pilone par un mince filin en soie d'araignée (quand même deux milimètres d'épaisseur, soit un sacrès truc quand on connait la matière.) Le cable de dix mètre se déroula, emporté par le farfadet. Amoniaque se jeta contre la falaise, agrippant un buisson émergeant de la falaise. Il ralentit sa chute. Ensuite ses pieds dérapèrent sur la paroie et il finit arrêté à vingts centimètres au dessus du sol. Ici, plus le moindre souffle d'air. Une odeur de pourriture flottait dans l'air. Des cadavres, certains d'humains trainaient dans tous les coins. Le seul truc auquel les ingénieurs de son fusil n'avaient pas pensé en le concevant, c'était de lui fournir un mode au moins semi automatique. Tirer puis devoir recharger, c'est pas le pied. Cependant il tira sur la première harpie. Celle qui avait levé vers lui ses yeux qui auraient pus être d'une resplendissante beauté si ils n'avaient pas étés agrandis par la bestialité. Les visage digne d'une elfe magnifique se crispa de douleur lorsque la flèche pénêtra dans son corp. Les ailes de la créature s'agitèrent pour la soulever, mais les sérum fesait son effet et elle s'éfondra, vivante, mais paralysée pour trois jours. Les seuls organes épargnés par le venin étaient le cerveau (marginal dans ce cas ci) le coeur et le diaphragme. Les deux autre en voyant leur camarade au sol regardèrent autours d'elles. Elle virent un jeune farfadet arborant un imposant fusil et un sourire sarcastique et provocateur. LEur tout petit cerveau raisonna ainsi :
"Bonhomme -> manger -> air méchant -> manger pas facile -> attaquer"
Et elles attaquèrent. Le fusil d'Amoniaque parla encore, bien qu'il soit silencieux. Le projectile visant la première harpie rata sa cible, grace à une esquive de la créature. Oui ces bestioles sont vraiment connes, mais quand même pas mauvaises combattantes. Malgrès tout, la flèche en question effleura l'aile de la bête, un filet de sang jaillit, et l'aile ne voulut plus bouger. La femme oiseau à dix mètre de hauteur passa en mode caillou. C'est à dire qu'elle tomba directement, au sol, tout en essayant de se redresser avec son autre aile. Mais comme tout le monde sait que une seule ça suffit pas, elle se cassa litéralement la gueule au sol. Il y eut un craquement, l'aile paralysée avait prit tout le choc, mais n'eut pas la solidité requise et craqua. L'os brisé n'eut plus la moindre utilité (de toute manière elle n'aurait pas pu se servir de cette aile là.) La seconde harpie fondit sur Amonique. Le farfadet esquiva les griffes acérées et tenta de s'éloigner pour recharger son fusil. Mais la créature ne le laissa pas faire. Elle le força à parer avec l'arme, sa griffe pénêtra dans la culasse. Le truc qui balance l'air étant troué, le fusil ne put plus fonctionner. Là le farfadet qui avait clairement reçut les instructions de ne pas abattre les créatures quelles qu'elles soient était mal.
- Bah, ce sera pas la première fois.
Mais le vent emporta se paroles. Et il sauta. Relié à un pilone par un mince filin en soie d'araignée (quand même deux milimètres d'épaisseur, soit un sacrès truc quand on connait la matière.) Le cable de dix mètre se déroula, emporté par le farfadet. Amoniaque se jeta contre la falaise, agrippant un buisson émergeant de la falaise. Il ralentit sa chute. Ensuite ses pieds dérapèrent sur la paroie et il finit arrêté à vingts centimètres au dessus du sol. Ici, plus le moindre souffle d'air. Une odeur de pourriture flottait dans l'air. Des cadavres, certains d'humains trainaient dans tous les coins. Le seul truc auquel les ingénieurs de son fusil n'avaient pas pensé en le concevant, c'était de lui fournir un mode au moins semi automatique. Tirer puis devoir recharger, c'est pas le pied. Cependant il tira sur la première harpie. Celle qui avait levé vers lui ses yeux qui auraient pus être d'une resplendissante beauté si ils n'avaient pas étés agrandis par la bestialité. Les visage digne d'une elfe magnifique se crispa de douleur lorsque la flèche pénêtra dans son corp. Les ailes de la créature s'agitèrent pour la soulever, mais les sérum fesait son effet et elle s'éfondra, vivante, mais paralysée pour trois jours. Les seuls organes épargnés par le venin étaient le cerveau (marginal dans ce cas ci) le coeur et le diaphragme. Les deux autre en voyant leur camarade au sol regardèrent autours d'elles. Elle virent un jeune farfadet arborant un imposant fusil et un sourire sarcastique et provocateur. LEur tout petit cerveau raisonna ainsi :
"Bonhomme -> manger -> air méchant -> manger pas facile -> attaquer"
Et elles attaquèrent. Le fusil d'Amoniaque parla encore, bien qu'il soit silencieux. Le projectile visant la première harpie rata sa cible, grace à une esquive de la créature. Oui ces bestioles sont vraiment connes, mais quand même pas mauvaises combattantes. Malgrès tout, la flèche en question effleura l'aile de la bête, un filet de sang jaillit, et l'aile ne voulut plus bouger. La femme oiseau à dix mètre de hauteur passa en mode caillou. C'est à dire qu'elle tomba directement, au sol, tout en essayant de se redresser avec son autre aile. Mais comme tout le monde sait que une seule ça suffit pas, elle se cassa litéralement la gueule au sol. Il y eut un craquement, l'aile paralysée avait prit tout le choc, mais n'eut pas la solidité requise et craqua. L'os brisé n'eut plus la moindre utilité (de toute manière elle n'aurait pas pu se servir de cette aile là.) La seconde harpie fondit sur Amonique. Le farfadet esquiva les griffes acérées et tenta de s'éloigner pour recharger son fusil. Mais la créature ne le laissa pas faire. Elle le força à parer avec l'arme, sa griffe pénêtra dans la culasse. Le truc qui balance l'air étant troué, le fusil ne put plus fonctionner. Là le farfadet qui avait clairement reçut les instructions de ne pas abattre les créatures quelles qu'elles soient était mal.
Amoniaque-
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Re: Un petit coup de mistral...
La harpie lui bondit dessus, griffes sorties. Elle tenta de lacérer le visage d'Amoniaque mais celui-ci roula sur le côté. Il se redressa vivement, pour reculer afin d'éviter un second coup des serres du monstre. Le farfadet répliqua d'un violent coup de crosse au crâne, mais son coup manqua, et la bête répliqua d'un coup de griffe venant lui égratigner le bras, merci à l'armure. Amoniaque enchaîna, et cette fois-ci, il ne manqua pas son coup. Le canon de son fusil vint s'encastrer dans la face de la harpie, l'envoyant en arrière avec violence. Elle se redressa avec peine, poussant un long cri aigu, mais elle fut assomée par un second coup de crosse.
Amoniaque se redressa, ayant accompli sa mission. Pourtant, le cri ne lui inspirait rien ; et il avait raison.
De la crête s'élevèrent une dizaine d'autres harpies.
Amoniaque se redressa, ayant accompli sa mission. Pourtant, le cri ne lui inspirait rien ; et il avait raison.
De la crête s'élevèrent une dizaine d'autres harpies.
Re: Un petit coup de mistral...
- Héé merdeeeuh !!
Amoniaque jeta les débris du fusil. A la main il lança une flèchette sur chacune des harpies au sol. La créature à l'aile cassée et celle avec deux grosses bosses sur le crane allèrent faire un grand tour au pays des songes. Ensuite il sortit sa radio, inspira un grand coup puis apella "l'état major".
- Je risque d'en amocher deux ou trois.
La communication s'interrompit, pour ceux qui la reçurent sur le buit d'une harpie qui a prit un coup du manche du "couteau" d'Amoniaque. Mais revenons à l'action. Pendant que le farfadet passait son coup de fil, les harpies appelées par leur congénère qui gisait à présent sur le sol lui foncèrent dessus. Amoniaque évita la première en sautant au dessus et en lui envoyant un coup de talon sur la nuque. Coup douloureux mais insuffisant pour l'assomer durablement. Or tout le monde sait qu'il faut investir dans le dévellopement durable. Donc, Amoniaque sortit son poignard à cran d'arrêt. Il ne déplia pas la lame, mais les trentes centimètres d'argent ciselé du manche formaient deja une formidable matraque. Avec ça, tout en racrochant, et tout e se trouvant relativement haut au dessus du sol, il frappa la harpie qui essayait de lui mordre le visage au flanc. L'impulsion du coup le projeta sur la gauche : coté milieu de la combe. La harpie elle alla mordre, au lieu de la chair d'Amoniaque, la dure et provençale roche de la falaise. En plus de perdre quelques uns de ses crocs, la créature tomba au sol.
Malgrès leur stupéfaction de voir que quatres d'entre elles étaient deja hors combat, les harpies attaquèrent Amoniaque. En groupe cette fois-ci. Le farfadet, son i-pod sur les oreilles déversant les rythme des arctic monkeys. Esquivait gracieusement la plupart des coups de griffes, dents, aile, et parait les autres. De temps à autre il balançait un coup précit d'une des extrémités de son corp qui repoussait pour au moins un certain temps l'une des assaillantes. Puis le rythme s'emballa, des deux cotés en même temps. Les harpies furieuses que deux autres d'entre elles eussent étes mises au tapis redoublèrent d'agressivité, et le tempo de la chanson qui rythmait les mouvements du farfadet augmenta soudainement.
Amoniaque jeta les débris du fusil. A la main il lança une flèchette sur chacune des harpies au sol. La créature à l'aile cassée et celle avec deux grosses bosses sur le crane allèrent faire un grand tour au pays des songes. Ensuite il sortit sa radio, inspira un grand coup puis apella "l'état major".
- Je risque d'en amocher deux ou trois.
La communication s'interrompit, pour ceux qui la reçurent sur le buit d'une harpie qui a prit un coup du manche du "couteau" d'Amoniaque. Mais revenons à l'action. Pendant que le farfadet passait son coup de fil, les harpies appelées par leur congénère qui gisait à présent sur le sol lui foncèrent dessus. Amoniaque évita la première en sautant au dessus et en lui envoyant un coup de talon sur la nuque. Coup douloureux mais insuffisant pour l'assomer durablement. Or tout le monde sait qu'il faut investir dans le dévellopement durable. Donc, Amoniaque sortit son poignard à cran d'arrêt. Il ne déplia pas la lame, mais les trentes centimètres d'argent ciselé du manche formaient deja une formidable matraque. Avec ça, tout en racrochant, et tout e se trouvant relativement haut au dessus du sol, il frappa la harpie qui essayait de lui mordre le visage au flanc. L'impulsion du coup le projeta sur la gauche : coté milieu de la combe. La harpie elle alla mordre, au lieu de la chair d'Amoniaque, la dure et provençale roche de la falaise. En plus de perdre quelques uns de ses crocs, la créature tomba au sol.
Malgrès leur stupéfaction de voir que quatres d'entre elles étaient deja hors combat, les harpies attaquèrent Amoniaque. En groupe cette fois-ci. Le farfadet, son i-pod sur les oreilles déversant les rythme des arctic monkeys. Esquivait gracieusement la plupart des coups de griffes, dents, aile, et parait les autres. De temps à autre il balançait un coup précit d'une des extrémités de son corp qui repoussait pour au moins un certain temps l'une des assaillantes. Puis le rythme s'emballa, des deux cotés en même temps. Les harpies furieuses que deux autres d'entre elles eussent étes mises au tapis redoublèrent d'agressivité, et le tempo de la chanson qui rythmait les mouvements du farfadet augmenta soudainement.
Amoniaque-
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Re: Un petit coup de mistral...
Lorsqu'Amoniaque eut mis à terre une autre harpie, ces dernières commencèrent à perdre en assurance, se mettant légèrement en retrait, et poussant de grands cris. Les harpies étaient des monstres faibles, mais elles avaient un impressionnant système de communication, et le reste de la volée n'allait pas tarder à arriver.
Les monstres restant étaient réticents à repasser à l'attaque, laissant un temps de repos à Amoniaque. Une harpie s'avança d'un battement d'ailes, mais le farfadet la stoppa net d'un coup de pied dans le ventre. Il enchaîna d'un coup du manche de son couteau sur le crâne, et la harpie tomba assomée.
Amoniaque passa à l'attaque, fusant sur les harpies décontenancées. Quand soudain, un cri plus puissant que les autres le fit se retourner.
Une harpie, bien plus grande que les autres, plus hideuse, était sur un flanc de la falaise. Elle poussa une seconde plainte, et ses petites soeurs se rassemblèrent derrière elle. Alors elle prit son envol, accompagnée des autes bêtes, et toutes fusèrent sur Amoniaque.
Cette fois-ci, elles semblaient bien plus organisées, et avaient bien plus d'entrain. Et la reine harpie ne paraissait pas être de la même trempe que les autres.
Les monstres restant étaient réticents à repasser à l'attaque, laissant un temps de repos à Amoniaque. Une harpie s'avança d'un battement d'ailes, mais le farfadet la stoppa net d'un coup de pied dans le ventre. Il enchaîna d'un coup du manche de son couteau sur le crâne, et la harpie tomba assomée.
Amoniaque passa à l'attaque, fusant sur les harpies décontenancées. Quand soudain, un cri plus puissant que les autres le fit se retourner.
Une harpie, bien plus grande que les autres, plus hideuse, était sur un flanc de la falaise. Elle poussa une seconde plainte, et ses petites soeurs se rassemblèrent derrière elle. Alors elle prit son envol, accompagnée des autes bêtes, et toutes fusèrent sur Amoniaque.
Cette fois-ci, elles semblaient bien plus organisées, et avaient bien plus d'entrain. Et la reine harpie ne paraissait pas être de la même trempe que les autres.
Re: Un petit coup de mistral...
Amoniaque connaissait bien les harpies. Il y avait deux options qui s'offraient dorénavent à lui : abbatre la reine ou fuir. Et si il abbatait la reine c'était à 50/50 : si il avait de la chance les harpies se soumettraient ou fuiraient, sinon elle vangeraient violement leur reine. Et il n'était pas sur de pouvoir tenir en respectant ses instructions de mission dans ces conditions. Mais bon, il n'avait jamais fuit. Même en situation désespérée il n'avait pas fuit. Et ce n'était pas trois harpies pouilleuses qui allaient le malmener. Mais quand même il n'allait pas prendre de risque. Il brandit son Sig Sauer. Le canon de l'arme étincela dans la lumière du soleil. Les harpies hésitèrent un instant ; elles connaissent les dégats que peuvent occasioner ces appareils. Mais voyant qu'il ne tirait pas la reine fondit sur lui, les serres en avant. Entre ses dents et son sourire satisfait le farfadet laissa échaper.
- You made a mistake... I'll never forget.
Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Dix balles. Les dix serres de la reine partirent en éclat. Elle poussa un hurlement de douleur. Mais continua sa piquée. Même sans griffe, si elle arrivait à lui tomber dessus elle pourrait lui briser les os. Ce que la reine des harpies ne voyait pas c'est que ses soeurs effrayées par ce petit bonhomme qui leur tenait vaillament tête restaient en vol stationnaire. La reine était donc seule. Quand elle s'en aperçut elle était à deux mètres d'Amoniaque. Quand elle voulut se relever, à un mètre vingt. Quand elle se stabilisa à quarante centimètre. Puis elle prit en plein sur la nuque un puissant coup de la crosse du Sig Sauer. Puis un coup de genoux sous le menton et enfin deux coups de pieds entre les omoplates. Et avant de s'écraser au sol comme une... une des fléchettes vint se ficher dans son épaule. Elle était complètement hors combat. Amoniaque rechargea son flingue et attendit la réaction des volatiles.
- You made a mistake... I'll never forget.
Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Bang ! Dix balles. Les dix serres de la reine partirent en éclat. Elle poussa un hurlement de douleur. Mais continua sa piquée. Même sans griffe, si elle arrivait à lui tomber dessus elle pourrait lui briser les os. Ce que la reine des harpies ne voyait pas c'est que ses soeurs effrayées par ce petit bonhomme qui leur tenait vaillament tête restaient en vol stationnaire. La reine était donc seule. Quand elle s'en aperçut elle était à deux mètres d'Amoniaque. Quand elle voulut se relever, à un mètre vingt. Quand elle se stabilisa à quarante centimètre. Puis elle prit en plein sur la nuque un puissant coup de la crosse du Sig Sauer. Puis un coup de genoux sous le menton et enfin deux coups de pieds entre les omoplates. Et avant de s'écraser au sol comme une... une des fléchettes vint se ficher dans son épaule. Elle était complètement hors combat. Amoniaque rechargea son flingue et attendit la réaction des volatiles.
Amoniaque-
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Re: Un petit coup de mistral...
Les harpies hésitèrent un moment, puis s'avancèrent avec rage, avant de stopper net leur envolée. Puis, elles s'enfuirent, toutes dans une même directionà l'opposée en poussant des cris apeurés.
Amoniaque rengaina. La reine ne bougeait pas. Les harpies étaient lâches, mais leur attitude avait été démesurée. Le ciel sembla s'assombrir étrangement. Le farfadet comprit un poil trop tard.
Il se jeta sur le côté, mais un choc immense l'ébranla et l'envoya valser sur le côté. Il avait néanmoins évité les serres meurtrières de la Charogne. L'immense volatile continua son vol plané, récupérant le corps inerte de la reine en refermant ses griffes dessus dans un craquement d'os nettement audible. Amoniaque se redressa, mais déjà la Charogne s'éloignait. Elle vint se placer sur la falaise, hors de portée de ses tirs, le fixant de ses yeux globuleux. On sentait une intelligence malsaine dans le regard de ces oiseaux de mort. Amoniaque savait qu'il ne servait à rien de chercher à tuer cette bête. Elle restait hors de portée et ne semblait pas vouloir se lancer à l'attaque. Les Charognes étaient parmis les monstres les plus prudents qui existaient.
Commençant à déchiqueter la reine harpie, elle gardait un oeil sur le farfadet.
C'était la curée. La chasse semblait finie, et une atmosphère macabre régnait désormais.
Amoniaque rengaina. La reine ne bougeait pas. Les harpies étaient lâches, mais leur attitude avait été démesurée. Le ciel sembla s'assombrir étrangement. Le farfadet comprit un poil trop tard.
Il se jeta sur le côté, mais un choc immense l'ébranla et l'envoya valser sur le côté. Il avait néanmoins évité les serres meurtrières de la Charogne. L'immense volatile continua son vol plané, récupérant le corps inerte de la reine en refermant ses griffes dessus dans un craquement d'os nettement audible. Amoniaque se redressa, mais déjà la Charogne s'éloignait. Elle vint se placer sur la falaise, hors de portée de ses tirs, le fixant de ses yeux globuleux. On sentait une intelligence malsaine dans le regard de ces oiseaux de mort. Amoniaque savait qu'il ne servait à rien de chercher à tuer cette bête. Elle restait hors de portée et ne semblait pas vouloir se lancer à l'attaque. Les Charognes étaient parmis les monstres les plus prudents qui existaient.
Commençant à déchiqueter la reine harpie, elle gardait un oeil sur le farfadet.
C'était la curée. La chasse semblait finie, et une atmosphère macabre régnait désormais.
Re: Un petit coup de mistral...
[t'as bien retenu de devoir commun toi ^^]
Amoniaque decrocha la radio.
- Y'a septs harpies assomées dans le coin. Si vous les voulez pour vos expérience magnez vous le train. Y'a une charogne qui rode. Si elle revient je peu lui agrandir les orbites mais bon.
Deux minutes plus tard la charogne s'envola. Un imence hélicoptère apparut. Il se posa, nullement incomodé par le vent. Des tecniciens en sortirent. Ligotèrent artistiquement les volatiles assomés, Amoniaque monta dans l'appareil après eux et les harpies inertes. L'hélicoptère décolla. Puis à dix kilomètres d'altitude, les pales se déplacèrent, se plaquant sur la carlingue. Puis les puissant réacteurs situés sur les cotés prirent le relais. Une mission bien réussie. Dans trois heure un chasseur aérien viendrait nettoyer un peu la zone.
Amoniaque decrocha la radio.
- Y'a septs harpies assomées dans le coin. Si vous les voulez pour vos expérience magnez vous le train. Y'a une charogne qui rode. Si elle revient je peu lui agrandir les orbites mais bon.
Deux minutes plus tard la charogne s'envola. Un imence hélicoptère apparut. Il se posa, nullement incomodé par le vent. Des tecniciens en sortirent. Ligotèrent artistiquement les volatiles assomés, Amoniaque monta dans l'appareil après eux et les harpies inertes. L'hélicoptère décolla. Puis à dix kilomètres d'altitude, les pales se déplacèrent, se plaquant sur la carlingue. Puis les puissant réacteurs situés sur les cotés prirent le relais. Une mission bien réussie. Dans trois heure un chasseur aérien viendrait nettoyer un peu la zone.
Amoniaque-
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