Fatalité des Humains
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Fatalité des Humains
Anthony D. Reverence Sam 22 Mar - 1:52
Descendant les marches, Anthony et Amy virent un groupe d'élèves au centre du Hall, qui s'écartaient petit à petit.
Plus ils s'écartaient plus on pouvait distinguer dans la masse, la personne qui l'avait fait venir. Ce graçon, Le garçon à qui il avait offert un séjour à l'infirmerie.
" - J'vais t'tuer, fils de Pute ! "
Le garçon sortit un beretta et le braqua sur Anthony. Ce dernier ne bougea pas d'un cil, regardant tour à tour l'assistance et le fou qui le tenait en joug.
" - Ben alors ? Vas-y, tire. "
Les paroles montèrent tel la rage jusqu'aux yeux du garçon qui appuya sur la détente. Un énorme trou se forma dans le ventre d'Anthony mais ne toucha pas la colone vertébrale. Heureusement pour lui, cet idiot n'avait pas visé le cœur. Ce dernier posa une main sur sa blessure.
" - GRAND FRÈRE ! "
Amy se précipita pour lui venir en aide mais il la repoussa d'un geste de la main.
" - Voila, t'es content ? "
Une marre d'eau se forma autour du jeune homme et bientot, remonta ses jambes, avant de former une épaisse couche de givre au niveau de ses cuisses.
" - Tu as tué parce qu'on t'y à incité, même si cette blessure n'est pas mortelle... "
Anthony tomba à terre tandit que le garçon se retrouvait prisonnier de la grace qui l'empechait de bouger...
Plus ils s'écartaient plus on pouvait distinguer dans la masse, la personne qui l'avait fait venir. Ce graçon, Le garçon à qui il avait offert un séjour à l'infirmerie.
" - J'vais t'tuer, fils de Pute ! "
Le garçon sortit un beretta et le braqua sur Anthony. Ce dernier ne bougea pas d'un cil, regardant tour à tour l'assistance et le fou qui le tenait en joug.
" - Ben alors ? Vas-y, tire. "
Les paroles montèrent tel la rage jusqu'aux yeux du garçon qui appuya sur la détente. Un énorme trou se forma dans le ventre d'Anthony mais ne toucha pas la colone vertébrale. Heureusement pour lui, cet idiot n'avait pas visé le cœur. Ce dernier posa une main sur sa blessure.
" - GRAND FRÈRE ! "
Amy se précipita pour lui venir en aide mais il la repoussa d'un geste de la main.
" - Voila, t'es content ? "
Une marre d'eau se forma autour du jeune homme et bientot, remonta ses jambes, avant de former une épaisse couche de givre au niveau de ses cuisses.
" - Tu as tué parce qu'on t'y à incité, même si cette blessure n'est pas mortelle... "
Anthony tomba à terre tandit que le garçon se retrouvait prisonnier de la grace qui l'empechait de bouger...
Anthony D. Reverence- Ađмιиιѕтяатзuя
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Citation préférée : Tout est relatif...
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Re: Fatalité des Humains
Lunne Sam 22 Mar - 13:32
Lunne s'arreta nette. Elle avait battue le record du monde de vitesse en entendant le coup de feu, et la voila devant le corps trouer de Anthony et le crétin aux pieds gelés. Elle resta un instant sans bouger, puis soupira, tapa sa main sur son front et retourna Reverence, qui était sur le ventre. Joli...
-Tout le monde vire son petit cul avant que mon pied n'attérisse dessus. Pigé?
L'attroupement d'élèves se dissipa, et laissait le professeur seul, avec un demi, un pied froid et une gamine qui pleurait. D'ailleurs, elle commençait à lui taper sur le système....
-Et toi arrete de renifler ou je t'en colle une...
Le ton était froid. Posant sa main sur le ventre de son élève, elle ferma les yeux et soupira à nouveau. C'était pas sa spécialité, mais elle saviat à peu près soigner les blessures par balle.
-Arf... Tu vas me donner l'extrème onction?
-Même pas en rêve. Tu vas vivre, sinon on va avoir un membre en moins pour notre équipe... Inconcevable.
-héhé... Intéressée à ce que j'vois.
-Ferme la, j'essaye de me concentrer.
Une lumière douce et tamisée s'échappa de la main collée à la blessure. Puis plus rien.
Lunne se releva, une balle dans la main. Plus de blessure à l'horizon.
-Tout le monde vire son petit cul avant que mon pied n'attérisse dessus. Pigé?
L'attroupement d'élèves se dissipa, et laissait le professeur seul, avec un demi, un pied froid et une gamine qui pleurait. D'ailleurs, elle commençait à lui taper sur le système....
-Et toi arrete de renifler ou je t'en colle une...
Le ton était froid. Posant sa main sur le ventre de son élève, elle ferma les yeux et soupira à nouveau. C'était pas sa spécialité, mais elle saviat à peu près soigner les blessures par balle.
-Arf... Tu vas me donner l'extrème onction?
-Même pas en rêve. Tu vas vivre, sinon on va avoir un membre en moins pour notre équipe... Inconcevable.
-héhé... Intéressée à ce que j'vois.
-Ferme la, j'essaye de me concentrer.
Une lumière douce et tamisée s'échappa de la main collée à la blessure. Puis plus rien.
Lunne se releva, une balle dans la main. Plus de blessure à l'horizon.
Lunne- Ađмιиιѕтяаяιce
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Re: Fatalité des Humains
Amoniaque Sam 22 Mar - 14:51
Amoniaque aussi s'était précipité au coup de feu. Laissant en rade l'élève depréssive qui était venue lui parler. Il vit le crétin à qui il venait de passer un savon. Il ne se préoccupa pas de Tonny ni de lunne mais fonça directement sur l'imbécile. En colère. Et un farfadet en colère c'est rare parceque c'est méchant. Il lui arracha son beretta et lui braqua sur la tempe. Après avoir araché l'élève plus grand que lui de la glace et le tenir à cing centimètre au dessus du sol.
- Alors, de quoi on à l'air quand on se fait braquer ? Là si j'appuie sur le petit bouton, ta tête elle s'en va en vacance.
- Mais... euh...
Les yeux du farfadet furieux lançaient des éclairs. Il jeta le flingue et le tireur par terre.
- Maintenant tu vas t'expliquer. Et soit certain que je saurais si tu dis la vérité ou pas. Et ne ment pas.
- Alors, de quoi on à l'air quand on se fait braquer ? Là si j'appuie sur le petit bouton, ta tête elle s'en va en vacance.
- Mais... euh...
Les yeux du farfadet furieux lançaient des éclairs. Il jeta le flingue et le tireur par terre.
- Maintenant tu vas t'expliquer. Et soit certain que je saurais si tu dis la vérité ou pas. Et ne ment pas.
Dernière édition par Amoniaque le Dim 23 Mar - 13:53, édité 1 fois
Amoniaque-
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Re: Fatalité des Humains
Anthony D. Reverence Sam 22 Mar - 19:58
Anthony se releva et regardait la scène. Il se leva et fît signe de remerciement à Lunne, descendît les marches du hall, et vît poser sa main sur l'épaule d'Amoniaque.
" - "Que celui qui n'a jamais pêché lui jette la première pierre." A t-on dit un jour, non ? "
Il remonta les marches. S'il était encore en vie, c'était grâce à Lunne et revînt la remercier.
Il pris sa main et en retira la balle qu'il avait reçu quelques minutes plus tôt.
Toujours tenant la main de Lunne il examina la balle maculée de sang, puis tourna les yeux vers son professeur.
Il n'avait toujours eu l'occasion d'être secouru par une fille qui avait son âge et qui pourtant était sa prof.
" - Merci. "
Se rendant compte qu'il tenait toujours la main de Lunne il la lâcha et après un bref regard dans ses yeux, se retourna et descendit les marches pour sortir de l'école, en direction du parc - il avait besoin de méditer un peu sur ce qui s'était passé, jetant au passage la balle à terre, à côté d'un garçon qui risquait fortement de ne plus revoir la lumière du jours s'il avait même mis Amoniaque en colère.
" - "Que celui qui n'a jamais pêché lui jette la première pierre." A t-on dit un jour, non ? "
Il remonta les marches. S'il était encore en vie, c'était grâce à Lunne et revînt la remercier.
Il pris sa main et en retira la balle qu'il avait reçu quelques minutes plus tôt.
Toujours tenant la main de Lunne il examina la balle maculée de sang, puis tourna les yeux vers son professeur.
Il n'avait toujours eu l'occasion d'être secouru par une fille qui avait son âge et qui pourtant était sa prof.
" - Merci. "
Se rendant compte qu'il tenait toujours la main de Lunne il la lâcha et après un bref regard dans ses yeux, se retourna et descendit les marches pour sortir de l'école, en direction du parc - il avait besoin de méditer un peu sur ce qui s'était passé, jetant au passage la balle à terre, à côté d'un garçon qui risquait fortement de ne plus revoir la lumière du jours s'il avait même mis Amoniaque en colère.
Anthony D. Reverence- Ađмιиιѕтяатзuя
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Re: Fatalité des Humains
Lunne Sam 22 Mar - 21:24
Après un merci auquelle elle ne s'attendait pas, la korrigante resta quelques instants pensive. En voila un qu'elle ne regretterais pas dans son équipe...
-Humf!
Elle se rapprocha de Amoniaque, un sourire au lèvre. Lui aussi la surprenait.
-Te voila bien en colère pour quelqu'un que tu ne connais pas, dis moi. Laisse cet idiot, je m'occupe de ce que Reverence à commencer.
-C'est à dire?
-'Vais lui mettre sa fessée... Et avant, je vais totalement lui décongeler les pieds...
Haussant les sourcils, elle pointa du doigt le bloc de glace ou un morceau de chaussure et visiblement aussi un doigt de pied étaient resté coincé. Sous le choc, l'élève ne semblait pas l'avoir senti, le froid n'aillant pas aidé. Le prennant dans ses bras, Lunne murmura quelques mots dans l'oreille du tireur et regarda Amoniaque sans broncher.
-tu devrais récupéré l'arme. Les humains sont trop stupides pour avoir besoins de raison pour s'entre tuer. J'amène notre "tueur" à l'infirmerie.
elle fit un signe de la tête à Amoniaque, souriante, et monta les marches du hall.
-Humf!
Elle se rapprocha de Amoniaque, un sourire au lèvre. Lui aussi la surprenait.
-Te voila bien en colère pour quelqu'un que tu ne connais pas, dis moi. Laisse cet idiot, je m'occupe de ce que Reverence à commencer.
-C'est à dire?
-'Vais lui mettre sa fessée... Et avant, je vais totalement lui décongeler les pieds...
Haussant les sourcils, elle pointa du doigt le bloc de glace ou un morceau de chaussure et visiblement aussi un doigt de pied étaient resté coincé. Sous le choc, l'élève ne semblait pas l'avoir senti, le froid n'aillant pas aidé. Le prennant dans ses bras, Lunne murmura quelques mots dans l'oreille du tireur et regarda Amoniaque sans broncher.
-tu devrais récupéré l'arme. Les humains sont trop stupides pour avoir besoins de raison pour s'entre tuer. J'amène notre "tueur" à l'infirmerie.
elle fit un signe de la tête à Amoniaque, souriante, et monta les marches du hall.
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Re: Fatalité des Humains
Amoniaque Dim 23 Mar - 13:52
Effectivement, il s'était mit en colère pour quelqu'un qu'il ne connaissait pas. Mais d'abors garantir la sécurité des élèves c'est son boulot, et ensuite, il ne pouvait pas supporter que des cooéquipiers s'entretuent.Ces gamins ne savent pas ce que c'est que de perdre un compagnon, même en ne l'aimant pas un compagnon reste en mission une partie de nous même. Il ramassa le béretta et s'en alla.
Amoniaque-
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