Au travail...

**Amoniaque** Lun 17 Mar - 23:43

Assit dans un fauteil devant une chaise dans une salle jouxtant la salle commune. Ici Amoniaque recevait les élèves qui voulait soit vider leur sac après les tortures psychologiques et physiques que sont les cours de Lunne par exemple. Ou alors ceux qui se disent "c'est pas possible je suis trop nul, je veux rentrer chez papa maman !!!!", ou encore ceux qui foutent la merde dans les cours, et tout le bordel. En gros il reçoit les élèves. Là, il est assit devant le mec a qui Tony avait pété le nez. Les eyux de l'élève crachaient des éclairs.

- Allez laisse moi partir, faut que j'aille lui péter la gueule à ce connard !

Autant, si il n'avait pas été en train de travailler, ben Amoniaque il l'aurait épinglé au mur et lui aurait fait comprendre son discours à coup de taloches. Aaah, ça les farfadets c'est... expréssif disons. Mais le jour où le directeur lui avait confié ce poste on lui avait explicitement dit de ne pas frapper, en premier en tout cas, les élèves. Alors Amo devait délivrer des trésors de diplomatie. Heuresement qu'il s'y connaissait un peut en torture psychologique, sinon il les aurait vraiment assomé ces gremlins. Enfin tout ça ne signifie pas non plus que le registre employé par le Chef de La Vie Sociale aurait été aprouvé par l'académie française, belge, américaine, ni même par l'académie espagnole. Disons qu'il savait, causer aux djeuns.

- Aaah, mon petit, mais sérieusement, tu crois que t'as une chance. Regarde, tu l'avais attaché mais il t'as quand même balancé une taloche. Allez vas te coucher, et quand ton nez sera guéris, t'essayera d'être gentils.

L'élève visiblement très sur de lui, était rouge de colère, visiblement il n'apréciait pas d'être traité avec condescendance. Alors il se lève. Se retourne et se dirige vers la porte.

- Assis !

Il continue de marcher. Alors un couteau va se ficher dans la porte devant lui, coupant au passage une mèche de ses cheuveux bien coifés. Ce petit coup fait toujour son petit effet. Il retourne et s'assied. Le ton d'Amoniaque se fait un peu plus dans le ton : t'es pas complètement un gamin.

- Bon, maintenant je veux plus te voir dans ce putain de bureau. Enfin, sauf si t'en a marre et si tu veux te barrer. Là je te signerais le truc sans problèmes. Bref, si jamais j'entend dire que tu te tiens pas à carreau, ben vaux mieu pas que tu soit au courant de certaine choses. Maintenant je t'autorise à te lever.

Il eu un petit sourire en coins, l'élève se leva. Et sortit. Amoniaque attendit le prochain "client" de sa journée.